Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
mercredi 22 septembre 2010
en attendant le recit du 2 octobre de la seconde annee...
...de cette vielle souche bannie de sa terre d'origine, qu'on croirait sèche et vieillie, rejaillit a la surprise générale une humanité très ancienne, pure et vierge comme une blanche fleur qui résiste au temps...grâce a quoi, bientôt nous pourrions voir les choses autrement...