Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
lundi 30 août 2010
tite reponse
En réponse a l'ami qui s'interroge si j'ai vendu mon vélo pour lui survivre. Non, je n'ai pas cédé ma monture mais elle a des problèmes mécaniques monsieur le Président, les pneus sont usés, la chaîne a tenu bon plus que la durée donnée par le fabriquant et il faut la remplacer ainsi que les k7 et le siège. Quant a l'homme, il se débrouille avec ce qui se présente sans orgueil autre que l'inviolable dignité. J'ai des histoires a raconter mais j'ai choisi de tisser la mienne dans un espoir de pardon universel. C'est pas gagné..