Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
mercredi 23 février 2011
Peu importe que l’on soit pauvre, l’homme qui est prêt a tout pour atteindre son but, qui va de l’avant, est grand, est beau, cet homme ne peut être que noble. Oyama