mardi 22 février 2011

N 12

Comment peut-on céder un jour de plus la présidence de sa destinée à un mégalomane sanguinaire ? Qui plus est, il promet à visage découvert, d’étendre ses crimes contre l’humanité. pour se défendre de la révolution du peuple qui tient a sa destitution.
Qui peut de part le monde maintenir encore des relations diplomatiques ou d’intérêts avec cette chose qui méprise son peuple ? Ne se présente elle pas sans gène, ni respect aucun du genre humain, en traitant les jeunes de drogués et les adultes conscients de leur devoir existentiel, de rats, de microbes et de chiens !
Les européens ont finit avec Mussolini et avec Hitler depuis longtemps, les arabes sont encore au stade de ce retard. Aujourd’hui, ils doivent impérativement en finir avec les leurs, ces copicats de versions très médiocres mais non moins despotiques. Ils sont le terrorisme qui s’est propagé comme la peste. Si le monde libre tient à éradiquer ce mal, il ne faut pas chercher plus loin ni se perdre dans le désert a la poursuite de fantômes. L’antre de la terreur c’est eux. Le monde se portera bien mieux, une fois le monde arabe en finira avec le désastre de ces criminels qui sont assis sur son dos.
Ce vulgaire s’est définit lui-même comme étant une roche sourde et solide sur laquelle se brisera les vagues de la volonté. Il n’a que pour lui et sa progéniture. Il entend exécuter le peuple parce qu’il considère que ce peuple qui le conteste est traitre à la nation. Parce qu’il est l’histoire, le triomphe et la gloire et ne peut qu’être l’idole vénérée. Et la loi qu’il manie à sa guise prévoit la sévérité et la rigueur pour punir la trahison par la peine capitale.
Il a vidé son grenier d’inutile verbiage. Mais aujourd’hui n’est plus hier et il n’y a pas de place a cette violence demain. La question est comment le monde va s’en débarrasser. Ce n’est plus un défit strictement libyen, c’est une problématique mondiale. Ceux qui prétexte une volonté de non ingérence, la ou le tyran prévoit un bain de sang, ne tromperont personne sur les véritables raisons de leurs dénis d’assistance a population en danger. Ils auront à répondre de cette dérobade complice devant leur propre peuple comme devant l’histoire.
La société des nations ne peut ignorer la démence de ce monstre incontrôlable. Il y va de sa propre crédibilité plus que de la sureté des libyens eux mêmes. Le temps de la politique politicienne est révolu. C’est le temps du devoir à l’humanité comme aux valeurs universelles.
Il n’y a pas d’autres alternatives a la vérité. Il faut mettre en cage le fauve avant qu’il ne commette l’irréparable. C’est une urgence absolue. Il faut lui administrer une dose de tous médicaments connus pour tenter de le sauver de lui même et de sa folie meurtrière ou alors le jeter des à présent aux enfers de tous les tourments.
Ce n’est tout de même plus tolérable de supporter ce malade qui doit surement prendre des drogues dures. Cela semble lisible sur sa figure de Satan, au moins autant dans la violence de son agitation et de son discours contradictoire.
Sa présence encore au paysage public est une erreur fondamentale. C’est une menace à la paix mondiale et un outrage a la conscience collective.
L’avantage de cet affrontement entre le peuple libyen et son tyran, montre combien les gouverneurs arabes veulent faire croire à l’univers, que sans eux il faut s’attendre au pire, la chute des comètes sur le globe terrestre, l’exil du soleil au delà de l’infini, la mort de la beauté et la fin de la grandeur céleste...
La révolution qui s’est présenté paisible va répondre à l’escalade par une folie guerrière. Elle ne lâchera ni Kadhafi ni l’ogre du désert ni aucune autorité complice de sa terreur.
Et finalement puisque Kadhafi a demandé au peuple de sortir en masse pour attraper les rats, il n’y a qu’à répondre a la dernière volonté du condamné pour mettre fin a l’ogonie du castor.