Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
mercredi 25 août 2010
Peut etre que...
Peut être que certains m'imaginent avoir cédé a l'envie d'une halte, plus grande que la volonté qui m'avait escorté, jusqu'à ce lointain présent. Qui me connaît vraiment pour le prétendre?...Finalement, je me rends compte o combien j'étais seul en France, comme je suis étranger a cette ignorance qu'on avait bien su me dissimuler...