Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
lundi 30 août 2010
tite reponse
En réponse a l'ami qui s'interroge si j'ai vendu mon vélo pour lui survivre. Non, je n'ai pas cédé ma monture mais elle a des problèmes mécaniques monsieur le Président, les pneus sont usés, la chaîne a tenu bon plus que la durée donnée par le fabriquant et il faut la remplacer ainsi que les k7 et le siège. Quant a l'homme, il se débrouille avec ce qui se présente sans orgueil autre que l'inviolable dignité. J'ai des histoires a raconter mais j'ai choisi de tisser la mienne dans un espoir de pardon universel. C'est pas gagné..
un sourir depuis l'au-dela...
Ma vie ressemble a un passage a vide entre deux mondes. La psychè y est régit par un discours métaphysique et un développement cartésien. Il faut reconnaître que la conscience s'est érigée en tribunal face a la réalité qui ne m'a jamais procuré plus que des demis réponses.
La donne métaphysique m'éclaire du mieux que je peux sur l'histoire universelle. C'est elle qui lève le voile des apparences sur notre piètre quotidien. Je scrute l'horizon incertain pour y voir ma place, pour me regarder en face dans l'univers de demain, mais la marche hésitante de mes pas fatigués, dans ce bas monde, rend ma réalité indécise non sans raison. J'apparais alors comme si je ne savais pas ce que je voulais et pourtant...
La donne métaphysique m'éclaire du mieux que je peux sur l'histoire universelle. C'est elle qui lève le voile des apparences sur notre piètre quotidien. Je scrute l'horizon incertain pour y voir ma place, pour me regarder en face dans l'univers de demain, mais la marche hésitante de mes pas fatigués, dans ce bas monde, rend ma réalité indécise non sans raison. J'apparais alors comme si je ne savais pas ce que je voulais et pourtant...
mercredi 25 août 2010
Peut etre que...
Peut être que certains m'imaginent avoir cédé a l'envie d'une halte, plus grande que la volonté qui m'avait escorté, jusqu'à ce lointain présent. Qui me connaît vraiment pour le prétendre?...Finalement, je me rends compte o combien j'étais seul en France, comme je suis étranger a cette ignorance qu'on avait bien su me dissimuler...
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