jeudi 7 mai 2009

litterature...

Lorsqu’on se retourne en si bon chemin pour regarder en arriere ce qui reste de nos peines et nos sueurs, c’est un signal pour l’eclosion des idees plus ou moins amers qui nous rapellent o combien nous ne sommes qu’ombre et poussiere devant la marche de l’histoire. Ce qui reste de nous c’est la trace de nos actes ou la trace d’une oeuvre accomplie, dans les meilleurs des cas. Et la plus belle serait l’oeuvre d’un grand bien au service de notre humanite, en tout cas pour celui qui a cette immense chance d’inscrire son nom sur le bon registre de l’existence. Tout en formulant ces phrases dans ma tete pour me tenir compagnie.


Je l’ai apercue, ce soir, exquise dans sa jolie robe noir, marchant pieds nus lorsqu’elle m’a jetté ce regard qui vous transforme en statut de scene et ma raison s’en est allée avec elle, les yeux remplis et le Coeur ivre de sa belle promesse.

J’ai depuis erré la nuit echouant sur un large rocher caressé par les vagues. Je m’y suis etendu comme un extra-terrestre, ouvrant les bras pour embrasser le ciel. Et les etoiles se sont mises a pleuvoir sur mon etre comme les perles d’une douce abundance…

Quelle certitude ais-je de cette passion sans connaitre l’heroine de ma romance, en me sentant amoureux comme un printemps alors que j’ai Presque peur de ce bonheur que j’ignore. Mais la vision est envoutante et ses consequences m’ont plongé dans un amplificateur de solitude. Un bien etre paradoxalement conjoint a un manque universel me transportent dans la nostalgie d’une chose extraordinaire mais inconnue…