mardi 25 novembre 2008

requiem de mon ame en vibration...


L’orphelin dit au temps: Je ne semble pas fait pour ce système car il est incapable de m’épanouir, désormais, j’en ai la certitude. Y a t il des gens qui lui survivent autres que les pirates et les interdits en tout genre. Y a t il un moyen pacifique de poursuivre son humanité sans heurt avec rien ni personne? Sommes nous déjà en apocalypse sans nous rendre compte des dégâts ? le constat est plus qu’amer en comparaison avec la simplicité de la nature qui s’offre encore naïve encore innocente malgré nos multiples agressions. Je me pose la question du berger qui découvre la science, la question de l’enfant qui osculte les raisons d’une panique planétaire et qui cherche à comprendre comme s’il devait être interroge en examen public. Où est la belle France, où est ma mère où sont les amis qui tenderaient la main au nauffrager de la connaissance? Aurais je une chance de tendre la mienne à qui se trouverait dans la nécessité? Aurais- je le pouvoir de soustraire à l’affolement une âme blême? Pourquoi la vérite est elle si dure à vivre alors que la duperie s’en donne a coeur joie? Qui peut m’extraire de cette enfer de l’insuffisance? Qui peut éteindre le feu de nos fautes communes? Y a t il une seconde chance pour arpenter l’échelle du bien? Serait ce la naissance d’un écrivain? La souffrance du penseur? Ou n’est ce que la folie d’une longue errance d’un poête perdu à travers l’incompréhension, là oû il prétend tout savoir de l’être et de la vie? Qui peut tourner la page sans transférer l’emprunte de l’ancienne écriture sur celle qu’il ouvre et qu’il croit vierge de tout soupson? Y a t il une issue au froid dans les ténèbres de l’illusion? A quand le messie qui nous guidera vers la vallée amène pour que fleurisse l’humanité comme un champs de roses blanches emmergeant des cendres? Y a t il une issue a mon ignorance?
Le temps lui répond avec un soupir qui secoue la terre endormie en chacun de nous: toi tu as le drame de cette romance comme patrie mais moi je n’ai plus de langue pour dire ce que les hommes ont fait de moi...
dinerons nous ensemble lorsque mes cheveux auraient blanchis? Et bien que dire si de moi meme il restera de quoi parler devant l’eternite, repond t il! Un sourir au levre qui vous glace le sang. C’est bien triste de le dire et c’est plus puissant à entendre pour celui qui me comprend...et je souri comme un enfant...