samedi 29 novembre 2008

en attendant un visa je ne fais qu'ecrire, les samourai etaient des poetes avant d'etres guerriers



Le president de human-brother et mon webmaster me deconseille cette litterature sur le blogg. Pour moi c’est un moyen de rester en contact avec ma patrie et rien de tel que l’exercice de ta langue pour t’y maintenir sur tout lorsque tu es expatrie. Qu’en pensez vous? Vous pouvez repondre soit directement sur mon e-mail, soit via le forum voir le livre d’or qui sont en cours de creation. En attendant, je m’exprime avec les mots qui sonts les miens en fonction de mes etats, car c’est aussi une maniere de partager avec vous tout ce qui est en rapport avec cette aventure humaine. Je sais que personne ne m’a mis a la rue encore moins hors de France, c’est un choix personnel et non la fatalite. je ne me lamente pas meme si mon ecriture semble aussi sombre que l’encre qui la materialse sur ces pages illuminees...
Je me rapelle cette phrase dans "la ligne rouge" : "ils veulent que tu meurs ou que tu mentes avec eux". Si tu l’ouvres, pour dire une pensée que tu crois légitime mais sans l’habiller avec ta peur, c’est donc toi qui fait alors peur à des êtres réputés supérieurs. Ils veulent que tu t’écrases plus bas que le silence et qu’à leur passage tu t’applatisses, tu rampes et tu montres les signes de ta soumission, pour qu’ils daignent te jetter les mets d’un semblant de reconnaissance. "Plus on approche de Cesar, plus la peur est grande" disait-on autrefois et moins on approche des imposteurs moins on est sujet à la tourmente. Car au fond, ce ne sont pas les forts qui nous mentent. Dans le passé, j’ai rencontré des chiens et d’autres personnes et rarement un homme qui respecte sa parole. Devant toi, ils disent oui et dès que tu as le dos tourné, ils passent à d’autres mensonges, pour duper d’autres victimes. Ainsi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Que d’amertumes me diras-tu ô l’ami de la connaissance ! Oui peut-être, mais quelle considération, est celle de ta propre estime pour toi-même lorsque tu es seul à te comprendre! Lèves-toi et marches dans cet enfer de l’indifférence et produis tes propres réponses. Il n’y a plus rien qui puisse te corrompre lorsque tu as ouvert ton coeur à sa conscience. Ne crains pas la désillusion qui émane de la rupture qu’on t’impose et renvoie au diable quiconque ferme la main en même temps qu’il te la tende car il n’y a rien de fraternel dans son action. Juste l’escroquerie d’une mauvaise histoire d’un dessins animés, il n’y a ni coeur, ni paisibles projections, ni aucune volonté d’échange. Avances, avances seul, sans compagnie qui dérange la pureté de ta vision. Avances, c’est ton destin qui fera sa revanche sur les agents du temps dans sa funeste vigilance. Lorsque tout te semble fini alors envisages cette fin comme le début d’autre chose et que ce qui va commencer est peut etre plus grand.