Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
lundi 25 octobre 2010
J'escalade les monts de la patience, pendant que ton souvenir s'abreuve du vin de mes souffrances...Je marche les yeux fermes, sans craindre la chute car mes sentiers sont bordés de ronces...J'écris aux gens du futur, le récit de mon aventure et lorsque les épines me ramènent a la réalité du non dit, je découvre d'autres raisons a mon errance...