lundi 17 août 2009

Je sais que la plaidroirie de ma literature ressemble a une lamentation devant une porte close. Mais que faire du chant triste de mon ame si elle est faite de musique non moins incomprise que sa proses? L’une et l’autre portent l’essence et la douleur de la meme rose. Et au dela de mon propre inconsolable chagrin d’amour toutes les deux defendent au fond la meme cause. La mienne, la tienne, la notre parce qu’elles ne sont dans le firmament qu’un residu de la meme chose…me comprendre o confrere-soeur c’est chanter tes louanges a la grandeur que tu oses…

Vous vous demandez quel est le scret de ma nevrose?

Je l’ai aimee cette femme la jusqu’au martyre des sens et des mots que je composes. Je sais que cet amour me tuera de chagrin ou il fera de moi une virtuose…

Toutefois, votre lecture est pour le moins une manifestation de solidarite qui me repose.