Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
lundi 20 avril 2009
litterature d'insomnie...
Le vent s'est dechaine et sa tempete ne s'est pas faite annoncee. Mais il y a un avis de silence sur la vallee seche, des consciences endormies. A genou horde de fantomes, ton tribunal est dresse, devant le peuple des hommes, des genis et des anges. La corde tendue est celle qui est autour de ton cou, mais ta tete est distraite. Et tes yeux sont remplis des choses terrestres pour voir qu'on t'a deja creuse un trou. Et ce n'est pas celui qui s'enfou de la cause de l'homme, qui, devant sa raison et sous le soleil, saura rester debout...