mardi 21 avril 2009

litterature de contestation


Je m'imagine bien m'etendre a l'infini dans la connaissance des choses de notre monde mais je n'ai que les fragments d'une approche qui releve plutot d'un ordre metaphysique. Et lorsque je tente la comprehension des hommes, je me heurte souvent a leur mur du silence. Deriere lequel ils se sentent a l'abris meme s'ils ne sont que trop petits et devant lequel ils voudraient apparaitre comme les seigneurs de la contree. Ce qui se cache deriere m'intrigue, je l'appercois parfois en partie lorsque je me rends moi meme transparent. Et je le devine autre fois, mais je n'ose croire qu'il n'y a pas de limites aux bornes franchies dans la difference, entre nous, les uns et les autres.
En revanche, je ne trouve pas de justification aux consciences closes, bien que je comprenne a peine celles qui se taisent parce qu'elle ne peuvent faire autrement devant l'absolu qui la cerne. Ou tout simplement parce qu'elle n'est pas dote d'une vision de l'ensemble.
Ma litterature de contestation n'est pas sans protocole. Elle est la pour m'aider a faire le point sur mes contradictions et paradoxe d'homme et aussi pour transcrire mon cheminement initiatique, en esperant que ma quete de verite serve, notmament a vous autres qui formez mon cercle de lecteurs. C'est un lieu de communication ou je vous invite volontier comme je voudrai vous inviter a un festin. Ma litterature de contstation disais-je! C'est aussi un heritage en partie de l'ancien esprit de France, lorsqu'elle se voulait une puissance d'ouvertuture et une puissance d'equilibre.
Ma contestation actuelle porte sur ce qui est a deplorer, sur le fait que l'esprit de grandeur de la belle France ait cede a l'indifference comme au je m'enfoutisme de ses enfants. La France a un dessein de socialisme de partage tout en incluant le cote humain du capitalisme. Elle n'est pas et ne sera jamais les ameriques.
Loin d'elle, Je me sens comme un navire fantome a la derive et qui aime acoster dans les rivages sauvages pour satisfaire a un appetit grandissant de liberte. Au dedant je me sentais exclu de la marche de l'histoire. Croira qui voudra, mais je l'aime comme une mere adobtive meme si certains des siens ont tout fait pour me classer au rang de la parias. Mon esprit s'y est forge et m'a culture s'est debarrassee de ses fausses croyances en caressant la lumiere de l'elite et en confrontant l'ignorance des autres, erigee en orgeuil de nation.
J'ai acces a l'idee qu'on est tous des entites complementaires d'une ame universelle et l'accomplissement de l'une c'est comme une etincelle qui s'ajoute a la lumiere du groupe pour eclairer notre destin universel. Et c'est parce que nous sommes eparpilles comme les emotions disparates de l'automne, que nous creons nous memes les tenebres d'un enfer collectif et bien reel. Il y a si peu qui connaissent la crainte fondamentale, celle qui inspire l'angoisse metaphysique et qui conduit par voie de consequence a l'interrogation sur l'essentiel. Sur le sens des choses, le sens de la vie, celui des droits et des devoirs, le sens de la liberte, le pourquoi des choses, Dieu, l'enfer, le paradis,etc...La connaissance du superflux quant a elle, est repondue et la populace est allongee, rampante deriere les miettes de ce qui a ete deja appropries.
Hahaha...