depuis la nuit des temps, les choses sont ce qu'elles sont. la terre est toujours la meme ainsi que sa progeniture mais c'est le temps qui change de peau comme un serpent...ce n'est pas pretendre a la science que de le dire mais la question est pourqui l'ecrire? A propos du "pourquoi", j'en saisis le sens dans cette litterature de rupture en ecoutant le son de mes larmes tombees dans une grotte obscure. l'echo de mes paroles versees en offrande ressemble a la melancolie du vent qui caresse de sourds rochers... Maintenant entre moi et le Japon il n'y a plus que l'ocean, que faire? Comment je m'y rend? Je marche sur les vagues, je noie la mer ou je bois le vin de mes illusions?
Sans espoir de retour vers nulle part. Il n’y a qu’un seul endroit où aller. Je vais là où le vent me porte pourvu qu’il souffle assez fort pour me porter assez loin. J'irais jusqu’aux confins de l’univers, si je le pouvais, pour apprendre comment planter un Olivier dans un champs de guerre. En attendant,j’erre d’ici et delà en caressant ce rêve, jusqu'à ce que la réalité me fasse taire. Alors je me relèverai pour peut etre séduire en vous la paix qui deviendra trop cher…
vendredi 17 juillet 2009
jeudi 16 juillet 2009
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