lundi 31 août 2009

Tout s'évanouissait dans une ombre dans laquelle, finalement, la date même de l'année devenait incertaine."

Aujourd'hui, j'ai pris une sieste vers le midi. J'ai plongé l'ensemble de ce que je suis dans un moment de total oubli. A mon réveil, je ne savais, ni ou j'étais, ni même qui j'étais, dans le trouble d'un vide, sans identification. Il s'agissait d'un moment désemparé ou l'on se redécouvre étranger a tout. C'est comme si l'on vous arrache toute la peau du corps, d'un coup sec pour vous épiler d'un reste d'ego. C'est se sentir perdu dans un univers lointain sans opinion ni option de retour a l'école, de retour a la maison des jours ordinaires. C'est comme crier sans voix du fond du cauchemar des autres et nul ne se porte disposé a ton secours. Et tu les vois rire les uns et les autres...Rire aussi de ton rêve lorsque tu rêves d'amour...

Avant de se ressaisir, en acceptant une souffrance plus perspicace, on ne se reconnaît plus aucune adresse valide, autre que l'assurance d'un coeur qui se souvient de nous avec une vérité plus profonde. C'est un moment ou l'on peut se qualifier soi-même d'un mort-vivant sans destination consciente de ses domaines. Navré je suis, bien que je ne dois pas l'être, pour partager le spectacle de cette souffrance. Puisque nous sommes les voisins de la même duplicité; On entend matin et soir un appel a l'outrage, on voyage ensemble mais sans félicité commune qui rassemble pour que commence l'avenir . L'expérience que je poursuis est a la hauteur de mes interrogations et le feu qui m'y brûle, ne plaisante pas avec les défis. C'est comme les ablutions d'une aube rouge de sang, avec des flammes étincelantes qui font craquer le bois de ma caboche vide, pour en extraire les tourments et les désirs. Dans ce vide que j'explore, le monde n'est plus le monde. On n'est rien de plus que ce zéro de la chambre 101 entre deux bâtons. Comprend qui peux entreprendre l'imaginaire de sa soi disant liberté . La chambre 101, o amis trop nombreux, pour ma capacite aux erreurs, c'est une expédition dans un amplificateur de douleur. Tu y est confié a deux "tendres tuteurs de la souffrance" et tu es ce rien entre deux, dont ils doivent dégager l'inconcevable matière de l'impossible raison. On t'y ordonne de dire ce que tu ne ne sais pas, et l'on t'y force a boire le vomis du blasphème de toute une génération, jusqu'à ce que tu reconnaisse ton premier pipi sur l'inconscience, jusqu'a ce que tu avoue, que tu avais bien mordu le téton de ta mère juste avant d'apprendre a l'ouvrir ... Après il te faudra tout le temps que tu n'as plus pour te refaire de ta propre dissolution. Et Ainsi va du destin tragique de tes mots, tu ne peux les distinguer ni les dissocier de tous ces maux qu'on t'a collé sur la peau pour coloniser ta moelle épinière. mais si tu ne me crois pas, interroges les habitants des cellules grises au grand sud plusqu'au nord de nos boussoles incertaines. et suit les labyrinthes torturées de ton insatisfaction, tu déboucheras fatalement sur la porte gardée et alors tu sauras que tu cheminais depuis x sur la voie de la prise de conscience. En revenant a soi et en reprenant le dit cours normal de la pensée, on revient peu a peu a ses convictions, un peu plus fort que la détresse qui avait précédé ce trouble dans le temps. On sait alors de manière tout a fait naturelle que partout il y a DIEU avec ses anges, ses promesses et ses avertissements. Et qu'au dessous il y a l'Ennemi commun, l'homme et l'Enfer qui cerne notre dépassement...

La perte du poids, celles des sels minéraux, la perte de confiance dans les agents, du passé comme de l'inconcevable futur d'un espoir qui te mente, l'absence de perspectives a priori, les poches vides d'un pot perce comme disait mon amour aux heures de sa passion, le jugement de ceux qui sont assis, le regard des autres qui sont vautrés dans la luxure, sans lever le petit doigt, ni pour stimuler l'art, ni pour nourrir le courage, tout ceci et bien d'autres vecteurs qui tendent a briser la volonté de l'homme, ne sont pas les signes d'une dépression, imminente ou latente. Mais ce sont les symptômes de la mise en examen de la conscience en tant que siège sacré de la foi. J'ai la foi qu'un jour viendra ou je serai aux commandes... Ce jour la je me souviendrai de tous et de tout, pour ne garder que ce qui est digne de ma romance pour que l'on partage les memes recompenses...

Ultime espoir...

mise au point... Voici un résumé synthétique a tous ceux, pour qui cette aventure humaine présente un intérêt et/ou qui éprouve une certaine considération pour tout ce que la somme des étapes franchies implique comme réalité faite d'effort, de volonté, de patience, de courage, d'endurance, de dépouillement, de solitude, de souffrance, d'abnégation, de doute, de remise en question, de combat psychologique ainsi que tout ce qui résume le don de soi, dont je fais preuve sans attendre ni salaire ni remerciement de personne. A la dernière lecture des statistiques vous étiez environs 1000 visiteurs par mois, plus que moins, dont une moyenne de 600 réguliers. Je ne suis donc pas un fou qui écrit un message de détresse a des fantômes, même si la plus part, vous demeurez silencieux pour la raison qui vous regarde. Bientôt ça fera un an que je traverse les saisons de notre délicate époque. J'ai fais au mieux de mes moyens pour vous tenir informes avec plus de 1137 messages jusqu'à ce jour ( 1137 messages par transfert sur internet, ça a un coût. Le tarif des connections horaires n'est pas celui forfaitaire qu'on a en France. Je vous laisse imaginer un petit calcul ) . C'est un lien de communication que j'ai mis a votre disposition, entre l'étranger que je suis et les inconnus que vous êtes, exception faite de ceux qui me connaissent déjà bien entendu. Un petit rappel et une mise au point sont a l'Ordre du jour. Voici les données actualisées de mon équation, depuis le départ tel que c'était prévu lors de la genèse du projet Human Brother, jusqu'à maintenant. L'idée était de mener a terme une aventure humaine et sportive en vous offrant par cette fenêtre, l'arrière plan du spectacle d'un long voyage, si j'ose l'expression de l'euro blesse. Le projet? Au delà du fait de satisfaire a des raisons d'ordre personnel c'était principalement le fait de relier Paris a Tokyo pour : a:(- Soutenir l'inscription du Karaté au programme officiel des J.O de 2016. b:)- Soutenir la candidature de Tokyo ville olympique en 2016. Le projet Human-Brother comme tout autre a besoin d'une logistique pour le mener a terme. Une recherche de sponsors était donc confiée au bon soins de 3 personnes qui se sont réunies de leurs propres gré autour de ce projet en déclarant une association a la préfecture pour me soutenir. Des personnes très compétentes par ailleurs dans leurs domaines respectifs mais qui, sans chercher a les condamner, ont tout simplement démissionnés avant même de tenter le challenge ni relever le défi. L'exposé des détails référant m'est une douleur diffuse que je vous épargne volontiers. Je n'envisageais pas le moins du monde une si prompte faillite qui soit causée aussi facilement par le facteur humain. Il y avait de bonnes prévisions et l'opportunité de faire quelque chose de sympa autour de ce projet. C'est tout de même très curieux comme les choses ont change, comme les gens ne sont plus les mêmes et comme les paroles se sont dissoute comme de la poussière au vent des que j'ai eu le dos tourne. J'entends toute la toile de mes relations jusqu'au faux frère. Qu'est ce donc le mystère d'arrière boutique? Les mairies qui se sont rétractée après déclaration d'enthousiasme, les Conseils qui ont fait la sourde oreille, le comité de candidature de Tokyo qui n'a plus donne signe de vie alors qu'un de leur responsable m'avait téléphoné du Japon. Lorsque tu es au champs, tu ne peux pas être a la ville au même temps. Lorsque tu additionne les centaines de km a vélo en confrontant le froid et les courbes des hautes altitudes avec une charge qui fait son poids, tu es a cent lieues de mettre tout sur le dos de la crise. Lorsque tu avance au prix de considérables efforts et que par contraste le reste te semble marcher a reculons, une scission finit par avoir lieu voir une dépression nerveuse. Parfois l'histoire se résume a l'expose d'un détail et de détails j'ai la mémoire qui ressemble au ciel étoile de Turquie. Lorsque je songe au budget mis a disposition pour la promotion de la ville de Tokyo, c'est colossale, le gouvernement nippons lui même a présenté de solides garanties financières au membres du Comité Olympique. Je suis a sa porte et je n'ai pas de quoi payer l'avion. Je me dis alors qu'il y a réellement une adversité quelque part qui a veille a empêché une aide même dérisoire a un homme qui est parti a vélo depuis la Normandie et qui souhaite joindre Tokyo en manifestation de soutien pour sa candidature.
Ah si le dernier Samouraï pouvait regarder de son au delà glorieux ce qu'il advient de son semblable dans la défaite, il soulèverait l'armée des ombres pour organiser le génocide complet et systématique des étoiles...
Peut être que ma trop grande admiration des arts martiaux me fait confondre l'idéal et la projection et que les ressources me concernant sont frappées d'interdit astral. Je serais dans une cellule, j'écrirais des ouvrages a perpète sur l'origine du dysfonctionnement que j'observe. L'histoire consigne tout sans rien épargner même si ses acteurs sont libres de leurs positionnement. O toi qui se cache a la requête de la compréhension. Qu'est ce donc que ta douleur? si tu n'as jamais étais la misère d'un hôte indésirable! Est ce la négligence grossière de l'univers spolie de son monde? Est-ce la noirceur dans l'âme porcine en proie au HI N1 d'un proche hivers déjà en émoi, la gerbe a la gueule car joyeux de ceuillir bientôt la mauvaises herbes ! Qu'est ce c'est un quotidien pour les citoyens de l'enfer?... File mon garçon, file, avant le baiser de la vipère? Serait-ce le Destin lui même qui a dresse tous ces obstacles devant sa réalisation? Me dis-je lorsque je ressens l'extrême tension de mon épreuve existentielle. Je ressens aussi a ces moments précis la gestation d'un volcan tout puissant qui menace de tout ravager, tout brûler jusqu'à la moindre cause de mes anciennes insomnies. Mais les mots sont les larmes de mon âme en observation, ils viennent en seuls amis, au chevet de son agonie. Disais-je, les ex-acteurs de Human-Brother avaient définit leurs libertés dans ma soustraction. Évidemment, ils sont libres de la conscience qu'ils se disent la leur, quant a leur positionnement du projet H-B. Sans doute que mon incapacité destin-ale, a maintenir dans la durée des relations stables n'a pas favorise le maintien d'un semblant de rapport qui m'aurait été utile, un tant soit peu. Bien sur, mon artisanat littéraire n'est pas du goût de tout le monde et encore je me retiens sinon ce serait le manifeste de la révolution. Bien sur on s'est appuie sur mes propos qu'on avait qualifies de discordant pour dissoudre l'instrument juridique qui aurait permis une probable récolte de sponsors ainsi qu'un maintien de l'espace ouvert a la communication au tour de ce projet. Je crois qu'un minimum d'esprit démocratique tolérerait a un homme qui s'est livre a sa tempête, d'exprimer le trop plein de ses émotions, particulièrement lorsque celui ci se sent laisse pour compte dans l'oeil du cyclone d'une solitude surhumaine. Vous n'avez pas idée sur les tourments de l'enfer, même si vous en connaissez les affres du temps. Et c'est bien connu, l'enfer c'est les autres:) Qu'est ce donc la vie si ce n'est une expérience effrayante? Et mon expérience n'est pas des moindres. Elle est faite des difficultés de l'assomption d'une haute montagne. Et cette sainte qui est la mienne est ivre de grandeur plus que de folie. Je vous prie de me croire que la raison est limpide en respirant la rareté des hauteurs. Arrête me dit le douloureux et néanmoins doux souvenir de ma bien aimée, "ta pas les chevilles qui enflent" . Mais il s'agit une fois encore de littérature pour exprimer le requiem de mon proche départ car les heures sont comptées. Je ne lancerais donc pas de pierres dans le jardin des autres, ma si chère glorieuse, cela serait une violence sans art indigne de ma pauvreté. Je suis pleinement responsable de ce qui est, de tout ce qui m'a conduit a quelques extrêmes de nature a recaler le moral d'un combattant déterminé. Ne perds pas confiance en toi ma dit la voix de l'excellence chez cette femme qui mérite les louanges de ma musique suprême...

C'est en réaction que je déclencherai les enfers ou que j'ouvrirai les portes d'éden... Pour clore un triste chapitre, revenons un instant sur "la rigolage". Vous ne savez pas tout a fait, tous les détails qui l'ont motive. Cela relève de l'intimité de mes relations et celle la est dans un tombeau. "La rigolage" était une soupape qui s'était déclenché par le trop plein de pression du a une indifférence généralisée. de subtiles allusions émanant d'une contestation légitime étaient adressées a qui pouvait comprendre le message, pour titiller la conscience endormie de ce qui rode dans ma sphère, sans prendre garde au danger du mensonge. Telle est ma devise, je suis celui qui te fera rire lorsque je te vois pleurer, car en me regardant, tu vois que suis tes larmes dans mes yeux... Les personnages de la rigolade reviennent souvent pleurer a la porte close de mon château, ils veulent surtout savoir qui s'était identifie a eux? On rigolerait bien de savoir ca...Ils veulent aussi se payer ma tête juste pour rigoler la ou il est plus facile a pleurer...Bref, aux -ex- en tout genre pour viser plus large, j'espère que l'enseignement tire de mon errance et de ma "divagation" ferait que leurs vies s'améliore en faisant mieux que je n'ai pu... Pour conclure sur une note pragmatique, voici le soulèvement des questions pratiques, c'est pire que la guerre des étoiles voir des batailles de machines dans l'éventuel prochain épisode de Matrix. Mais il y en a une question de soie toute faite car elle est déposée a vos pieds. Vous vous souvenez que l'aventurier doit aller a Tokyo. Il doit même finir cette étape essentielle de son voyage avant le 02 octobre prochain. Sachant que nous somme SEBTEMBER THE FIRST, il reste un mois, un mois pour connaître ce Japon lorsque ses arbres revêtiront leur parure de feu, et ses jardins et ses parcs s’orneront de mille couleurs. de Hiroshima a Tokyo a vélo, peut être au environs de 681 km, il faut 7 a 10 jours en fonction des aléas, ce qui me fixe comme date butoir pour un décollage de (KLL TO HJ) , la mi-septembre si je veux arriver avant le 02 octobre A TOKYO, date prévue par le C.O pour annoncer la décision de la ville choisie pour organiser les Jeux Olympiques de 2016. Ce serait tellement dommage de passer a cote, contrairement au karaté le Japon se présente en favoris. Si je loupe cette opportunité dites moi ou me cacher de vous, ou me cacher de moi-meme après ? Concrètement, quiconque veut manifester sa solidarité pour me soutenir même symboliquement, c'est le moment de le faire. Il suffit de m'écrire sur mon émail neowebhb@hotmail.com et je vous indiquerai la marche a suivre.

vendredi 28 août 2009

La solidarité, mon ami ! Qu'est ce que c'est?...Qu'est ce que donc...

La solidarité, mon ami ! Qu'est ce que c'est?...
Une passagère fantôme dans le train que tu as loupé?
Est-ce, cette belle inconnue que tu y a aperçue avant que l'expresse ne quitte les lieues, en te larguant a la gare ou tu t'es égarés? Ah ignores tu que le train a sifflé par 3 fois avant de te laisser sur les quais de l'oublie et de l'indifférence, pendant que tu rêvassais a la beauté qui ta volé la raison.
Est-ce un extra qui rempli ton insomnie d'un excès d'amour incompris?...
Tu te demandes ou sont tous ces gens que tu as connus? Ou sont tes sponsors? N'es-tu pas un citoyen de France? Ainsi, reviens tu a l'évidence qu'a leurs yeux tu es en tout état de cause dépourvu d'importance. Pour tous, autant qu'ils sont! Tu te dis que Jerusalem a été spolié de sa vertu au même temps que la conscience. Tu te dis que cette dernière est sans lieu dans le coeur contemporain pour accueillir la semence de tes prières; Aux hommes comme Aux femmes qu'on dit d'un ordre sensiblement supérieur sur le plan de l'interaction...
Tu voulais savoir?... Tu voulais un accès direct a la connaissance?...Tu voulais tout comprendre? Et bien ouvre les yeux et caresse tes souffrances...
"Certes vous allez savoir, puis, assurément vous saurez. Certes si vous saviez avec certitude, vous verriez l'enfer avec l'oeil de la certitude."...ST.C
Te plaindrais tu en explorant le vide et le manque?
Contesterais tu au réel l'ombre qu'il déploie a sa guise dedans comme au dehors? Voudras tu noyer l'or de Singapour a Johor parce que Tu as vu la cruauté assise confortablement a l'endroit de la compassion? Et a la place du coeur il y a des Docteurs, des agents, des professeurs, des courtisans, des ouvriers et tous les autres faiseurs d'argent...Ainsi donc ce soir tu es noir comme un ciel sans étoile et tu fixe d'un regard de fer cette nuit qui te redoute parce que tu es debout pour l'affronter seul. Dans le coeur d'une main tu portes l'amour et avec la vigueur de l'autre tu tiens un glaive pour le défendre. Tu voyages dans la mémoire des siècles, et tu regardes l'histoire comme un village de pauvres petits paysans sans ressources, qui se disputent la terre et quelques brins d'herbes. Tu t'es cru plus grand que ta tribu qui t'a vu naître en renvoyant paître la donne communautaire, parce que tu te défini en rapport avec l'universel qui rassemble. Tout compte fait tu es le vent qui disperse la poussière et déverse sa colère sur une rivière de sang et de flammes. Mais tu touches au but en visant le noyau des paradoxes. Tu compares cette contrée composite a ce qu'il adviendra de la France. Tu y vois le même dessein colonial a rebours, de groupes ethniques clos face a la république répudiée. Tu songes au ministère de la fraternité en excusant le hurlement des loups au tour de ton nom. Tu t'es refusé aux jeux des clans en affrontant seul la meute diurne et nocturne. Tu t'en souviens sans regret bien que tu n'es plus qu'un valet au fond du gouffre, dans un château a klang. Tu avais laissé se déverser l'or de ta jeunesse dans les égouts publics parce que, alors épris tu te devais de défendre ta princesse. A Selangor, aurais-tu cessé de croire au promesses en attendant la venu du Roi? Ce que tu affrontes la est si fort mais tu l'es encore plus quand il s'agit de la ravir, elle. Pour qui, tu persistes a tort ou a raison juste parce qu'elle t'a adresse une missive affective qui est chargée d'encouragement. Tu étais dans le troue noir de la désolation, une heure avant de lire de ses nouvelles. Qu'est ce qui t'empêche donc de relier le vide au Japon ? Crains tu l'océan toi qui n'a fait que survivre au creux de la vague du temps, depuis si longtemps que tu as épousé la veuve? l'histoire! Finalement, tu le reconnais, tu n'as pas su vivre sans elle, ni sans remplir un volumineux registre de questions.
Toutefois, Je m'incline de respect devant tes grandes souffrances.
Et maintenant, je suppose que si l'on t'offrirait la terre en héritage, tu ne te sentirais pas plus grand pour autant. Pourquoi donc toute cette solitude? Est ce parce que tu comprends de quoi est fait le monde? Est ce parce que malgré le potentiel tu ne t'y sens qu'un misérable mendiant? Ou bien tout simplement parce que tu es exclu du discours conjugal? Tu me sembles maîtriser l'instinct pourtant dans cette solderie humaine ou la chair coûte moins cher que la vérité. Et, tu es a l'exemple de celui qui avait dit autre fois: "la terre, la femme, l'argent, ne nous intéresse plus" Peut être bien l'ami. Et pourtant tu parles encore d'amour a ta belle d'antan, tu as besoin d'argent pour tenir ta parole et boucler le tour du monde, et tu as besoin d'un espace ou ôter ta fatigue et écrire le roman...
Hein, quektu disais?...Qui va la? Qui me parle?...
Si j'étais en proie a mes caprices? Si je cherchais a prouver mon Amour avec un impressionnant feu d'artifice?...A qui? Pourquoi? Quelle est la finalité?... Et si c'était le cas! Ne serait il pas la une folie plus sage et plus grande que l'avarice...Notamment celle du coeur qui rote a l'endroit des sentiments? Regardes, regardes mon ami, c'est extraordinaire, on dirait que je suis le 1ire a comparaître, j'arrive enfin devant la porte de la résurrection. Ouaaaah!...Regardes, regardes si tu peux voir, quelle chance, nous sommes transportés au delà de l'indifférence de ceux auxquels nous avons crus un jour ou l'autre...que de beauté, que de sublime, que de lumières caressant les yeux...j'aperçois le Royaume de l'éternité et je sens PROCHE le doux parfum de "FERDOWS". Alors, mon ami "the game is over"si tu es admis a boire a la sainte rivière, c'est que tes heures sont comptées et ta délivrance est par conséquent proche...Please! Dis-je a je ne sais qui. Juste une seconde pour clore mon éphémère et voir définitivement qui est qui avant de consigner les noms sur le Registre?...
Il y a moi et tous les autres et il y a toi,... Heureuse est ton âme qui est en transe sur l'hymne de mes récompenses...

je regarde souvent les enfants des autres et me dis ah si seulement c'etait le mien...mais c'est une joie que j'ignore..


moi je suis bien jolie...




jeudi 27 août 2009

suite II de message prive en lecture publique

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suite II de message privé en lecture publique
Lorsque je dis: Je me réfugie dans cette littérature qui est de toi, encore et toujours amoureuse. J'entends lire dans le flou de mes yeux, que je me dissous dans le secret du mot, que palpe tes lèvres. Pour que ma langue s'offre aux caresses de la soeur qui la lit. Pour qu'elle s'y laisse glisser non pour que tu m'aimes plus que tu ne l'a déjà fait. Non, non, je n'ai plus le temps pour cela, mais, c'est juste pour me plaindre de moi-même a ta superbe, pour m'y perdre plus que je ne suis déjà perdu, en m'oubliant au fond de ton coeur parmi toutes ses larmes joyeuses. Puisqu'il m'a été résolument dessiné de succomber aux courbes de tes charmes et qu'au même temps l'interdit s'était dressé en une insoluble frontière devant nos heures glorieuses; je me suis prescris cet exil volontaire dans la difficulté d'être sur une voie bien solitaire. C'est pour étudier au plus loin qu'il est possible d'aller, le mystère de la grâce divine... Je suis en observation quelque part derrière le ministère de mes désirs inassouvis. Chaste, depuis x, je suis et je le confirme. Et je suis déversé comme une mare de café dans le faste de cette Asie repue de plaisirs. C'est quasiment de l'ordre de l'ascèse, depuis que l'axe des coordonnées de mon désir s'est couché dans le temple sacré de ton souvenir. Les femmes sont dansantes et la convoitise suggérée par leurs belles formes en mouvement n'est qu'une transe devant mes yeux clos. Le grand monsieur Daniel GUIGNANT (le vélociste a Yvetot qui avait expérimenté 17 x le tour de la terre a vélo et qui m'a assemble le mien) avait raison de me prédire le changement. Mais je ne m'attendais pas a mourir au temps avant de mourir a la vie. J'en ai fini avec la torture de la passion qui a faite de moi un homme fuit et redouté. Désormais ce qui compte ce n'est ni vivre, ni mourir mais comment conclure sur une honorable sortie. Te reverrais je jamais ici bas mon bel amour ? Nous n'avons aucune certitude, j'entends par nous, l'étranger que je suis comme celui que je fus, mais je peux te donner l'assurance que ma littérature n'est, que parce qu'elle est de toi, encore et toujours amoureuse. Très dure est ma situation, je ne le déplore point tant que cela est intensément la vie. En revanche ce qui m'est inconcevable, c'est que mes mots sont sans crédit, pour honorer l'héroïne que tu es dans mon aventure.
Pour une fois, Acceptes je te prie le présent sans rien dire.
Bien a toi

I: suite du message prive en lecture publique

Je suis au port Dickson, dans ce qui reste d'un vestige colonial, dans ce parc qui est animé par quelque couples en amour ou ce qui y ressemble. Je suis le seul qui s'y aventure la nuit sans compagnie autre que ma modeste monture et tout le charme de ton souvenir. Je ne peux pas dire que je vais dormir a la belle étoile cette nuit car mon toit est gris et la nature se veut pluvieuse. Tant mieux, la pluie est la bienvenue, elle rafraîchit l'atmosphère et si en plus elle m'évite les moustiques et les intrus...de toute façon, vigilance oblige, je ne dormirai pas beaucoup cette nuit ou simplement d'un oeil si le sommeil venait a me séduire. La nuit dernière, un chien m'a dérobé une sandale a vélo sur deux. il faut reconnaître qu'elles puent ces "Shimanos" en plastique. des fois c'est gênant, mais elles ne sont pas comestibles pour autant, sinon, je les aurais peut être essaye moi même, sourire. Le chien a du y renoncer, je l'ai trouve non loin de mon campement. De nombreuses personnes me mettent en garde régulièrement contre le vol. Il y a parfois un excès de méfiance, un manque de confiance aussi, mais sans doute, parfois il n'y a pas de fumée sans feu. D'ailleurs, j'ai fais cette expérience aussi, une nuit, on m'a volé de l'argent pendant que je dormais dans un lieu sous surveillance. j'étais tellement épuisé que je n'ai rien senti a l'opération moi qui dormait comme un chat avant, je me surprend. Mais le Seigneur me les a rendu avec intérêt sur le principal les jours d'après. Je suis assis sur ce banc que tu peux voir sur la photo jointe, je t'écris a toi plus qu'a personne et te donne de mes nouvelles du moment. Tiens, un rat qui fait ses courses quasiment a mes pieds, on ne se gène de rien lorsqu'on a faim. Et a propos de la nourriture, on mélange le sucre et le sel mais a propos de l'intelligence voir de la conscience dans les meilleurs des cas , a propos de cette contrée, par respect, il vaut mieux ne rien dire. Elle serait pour certains ce que Dieu est mort pour d'autres. Il y a bien qui l'affirme en se sentant fort...
vla une brise d'air rafraîchissante a quelque pas de la mer qui me chante sa berceuse. Mais tu n'es pas la pour consolider le moment avant qu'il ne vole en éclat sous le fardeau de cette solitude insatisfaite d'elle même. Du temps, j'ai connu celui de la grâce mais celui de la vache maigre semble plus long a l'impatience. J'ai parfois dormi a la montagne en hivers, dans le désert ou si tu prêtais ta langue au silence, il se mettrait a parler, j'ai dormis en foret ou en ce qui y ressemble mais la jungle est DE LOIN la plus effrayante, en symphonies mysterieuses et de synopsis en tout genre qui harcèle ton imagination, voire qui remette en question le sens meme et la raison de ta propre existence. Ça t'arrache le coeur et dresse tes cheveux sur une chair de poule lorsque tu ressens roder autour de ton ombre...J'ai dormis sous la neige, sous une pluie apaisante ou sous une autre bien orageuse ou tu t'y sens si fébrile, d'un équilibre si précaire que tes émotions deviennent un pot de larmes a disposition, pour qu'un oui pour qu'un Nom Te bouleverse, en verses sur les racines de tes souvenirs comme pour maintenir en vie l'arbre des choses secrètes.
Le voyage est un lieu de révélation qui offre une ivresse de liberté peu commune, cela justifie cette pauvreté parfois jusqu'à la découverte de l'extrême...
Il m'est arrivé de me réveiller en sanglot ou en sursaut en livrant combat a l'ombre de la bête. Ou tout simplement en exusant le hurlement des loups a proximité de mon campement. J'ai connu de biens étranges frissons en me sentant hors de l'époque. Il m'est arrivé de sentir qu'il y a la même prison partout et seul les décors changent. J'ai eu accès a une initiation ésotérique très dure mais qu'elle ne fut révélatrice et riche en enseignement. Il m'est arrivé de manger une simple cuillère de riz par repas. sur plusieurs jours, curieusement cela me faisait sourire de m'observer en songeant au bon fromages de la Normandie voir a un couscous bien fait que j'ai gouté dans ce petit nouveau restaurant a Maromme. Je n'ai pas mangé pendant 5 jours, très curieusement je me sentais au dessus de souffrir de la faim. Il m'est arrivé de faire le tour du cadran avec un effort continu et sans goûter a la paix du sommeil dans un lieu rassurant des nuits et des lunes. On ressent d'étranges sentiments en étant sur la route la nuit tard sur un vélo avec des lumières dérisoires et quelques tonnes de fatigue...
C'est une belle préparation a l'épreuve des 100 kumites ou combats qui ont lieu au japon pour une certaine élite. Je m'y sens prêt psychologiquement et physiquement je suis affûté, je n'arrête pas de vérifier mes os en évitant de regarder le creux de mes jougs. La raison de cette errance, tu es la plus a même de la concevoir même si tu te disais contre l'aventure sans argent. Si j'avais obéi a cette regle, jamais je ne t'aurais connue...Elle stimule mon courage a corriger d'avantage les écarts de mon âme. Lorsque je regarde en arrière tout ce chemin parcouru, je vois un homme en mouvement vers l'inconnu avec des moyens dérisoires mais une telle volonté. Lorsque je me souviens vivement de cet homme que je fus hier, avant hier voir plus ou moins dans le temps, je me prends de pitié pour celui que je fus et jamais pour celui que je suis en devenir car celui la n'a pas le droit de faillir au serment de sa liberté, aussi sévère en soient elle les épreuves...
Mais il me manque les quatre saisons de ta douceur ainsi que l'hymne secret de ton âme... Il me manque de regarder la grâce en chacun de tes pas décidés lorsque tu venais a moi pour me défaire de ma colère avec un simple baiser...
Si je pouvais embrasser le don d'un compositeur, je déposerais la musique de toute la joie que je ne connais pas, a tes pieds. Mais sans toi le temps de ma vie est un requiem rempli de ressources cachées...
Et la douleur de ton amour volé inspire a ma métamorphose le recit de la Divine Romance...
a suivre...

samedi 22 août 2009

message prive en lecture publique

Puisque ton souvenir se veut une gloire a la mémoire en berne. Puisque quelque chose m'invite a le faire. Je t'écris comme pour la première fois mais peut être est-ce la dernière , je le fais avant de mourir sur le champs d'honneur de notre amour perdu. Puisqu'à toi je suis rappelé par le mystère d'un rêve qui dérange, oblige ma chère je suis, de me souvenir de toi comme d'autre fois lorsque tu m'avais quitte sans me lire le décret de ta sentence contre nous. Tu m'avais bien légué la perspective du fou qui ne cerne pas l'objet de ses pleurs... Un temps considérable s'est écoulé, depuis notre premier baiser a la saveur éternelle, et plus rien n'est plus comme avant depuis... Ce qui me ramène vers toi c'est le commandement d'un rêve que j'ai fais. lors duquel, tu es venue te réfugier dans mes bras comme une fontaine, arrosant de tes larmes la peine de ma littérature sans destination. Dans ce rêve douloureux et prenant, je venais de franchir la frontière de la vie et quelle ne fut ma surprise de te trouver de l'autre cote du miroir. Cela m'a affecte jusqu'apres dans le réel de mon retour a la raison. Je t'ai rejoins dans la mort et tu étais esseulée et perdue sans savoir vraiment que tu étais dans l'autre monde.Je ne savais pas comment te l'annoncer car je n'avais plus de larmes. J'étais dans un état de transfert entre les réalités...Une vague de compassion me submergea pour toi a cause de cette solitude a laquelle tu n'étais pas prête. Au point que j'en ai occulte mon propre sort. Je n'étais pas plus triste pour ma propre fin que du fait de t'y voir me précéder sans personne qui te tienne la main dans ce royaume ou tout est révolu a commencer par nous même. Cette nuit d'un dimanche cruel au lundi sans lendemain, nous nous sommes retrouves dans ce rêve qui raconte une histoire après la vie... Peu avant ma fin non glorieuse, j'avais échoue sur un pont brise, entre les mondes de deux rives malheureuses. Tu m'avais demande de t'apporter une solution sur un plateau d'argent, mais je n'ai fait que l'écrire a l'encre d'or de mes larmes silencieuses... Depuis toi, j'ai longuement souffert l'errance dans la solitude, en contemplant le spectacle magique des autres âmes amoureuses. Rien ne m'a été plus sordide que le constat de mon impuissance a relever les défis du don qui m'a été fait par ta rencontre. Tout compte fait, rien ne nous a été plus favorable que les heures clandestines de nos étreintes savoureuses. lorsque nos coeurs étaient emplis de joie, d'espoir de fortune et d'éternité mystérieuse. Que nous reste-t-il du temps perdu dans la quête du futile? Ni argent, ni position sociale , ni somptueuse demeure, rien de plus que le souvenir en larme de nos tendres baisers. De l'autre cote du monde, je restais la au bord de moi-même et d'une mer agitée, en laissant le vent inspirer a ma plume. Peut être aurait-il emporte jusqu'à toi le souffle de mes émotions les plus précieuses, mais il n'a fait que caresser mes mots en diffusant leur essence au quatre coins du cimetière de nos incertitudes. Je t'ai perdue dans les entrailles de la civilisation, tu m'as perdu dans l'encre qui fixe mon âme sur le blanc de mille pages fébriles. Après toi, j'étais itinérant sans promesse, au creux du vide. J'entendais un requiem que nul autre n'entend, et je dessinais les mots d'une toile que personne ne voit, lorsque même le miroir se refusait au reflet de mes certitudes, car il y avait un surcroît de peine, sur la mémoire de mon humanité incomprise. J'aurais presque entendu l'écho de l'inconnu me dire de rester assis sur la berge des siècles, jusqu'à ce que tu me reviennes un jour ou l'autre dans une nouvelle incarnation.Mais je me fais vieux pour l'espoir d'un renouveau universel et je ne suis plus qu'un mort parmi tous les autres tout comme toi. Du moins dans ce rêve. Tu m'as oublie, j'ai pense y parvenir mais ce rêve troublant m'a rappelé a ton bon souvenir avec le sanglot d'une nostalgie a en mourir de chagrin. j'ai su alors combien ton amour me parle encore malgré moi, jusqu'à mes prières de l'aurore , pendant que tu dors sur tes lauriers. Bref, je suis encore survivant de l'autre cote du soleil levant, entre nous il y a une distance équivalente a la moitie de la terre et comme je te le disais si bien, ma bien aimée est endormie dans un château fort garde par mille armées, c'est on ne peu plus vrai. Alors, alors, j'ai eu la chance de rencontrer un saint d'Asie, je lui ai fais part de mon rêve et il m'a interroge sur le mystère. Je lui ai dis que tu m'avais demande de t'apporter une solution sur un plateau d'argent, alors il m'a répondu, pourquoi faire si elle est passe a cote de l'or... Je lui ai dit, c'est la vie, c'est le destin, que sais-je!, il a souri et n'a plus rien dit. Il ferma les yeux pour une longue méditation. Je l'ai observe plus d'une heure voir deux. J'ai cru qu'il s'est endormi assis dans cette cours de son monastère. Je me suis alors levé pour m'en aller sans déranger sa paix intérieur, alors il a ouvert les yeux en me demandant de te contacter, comment le faire si ce n'est t'écrire ce message prive sur une tribune publique ou nul ne te connaît. Il m'a expressément demande de te rappeler au souvenir de ton Seigneur, c'est ce que je fais. Il m'a ensuite ajoute ce que je traduis a ma manière. " ce que tu ferai mieux mon ami c'est aller recharger tes batteries a la source de la vie...Et si tu as faim, ne pleure pas devant les enfants en attendant la fin de la crise, renforces l'assise de ta foi en faisant une raison plus puissante que l'oublie...

Tout simplement...


Cette apres midi j'ai enterre le chaton apres ses 3 jours d'agonie, je l'ai revu s'eteindre puis revenir plusieurs fois. Est ce que c'est ca d'avoir plusieurs vies, j'en ai aucune idee. J'ai eu si pitie, si pitie de cette pauvre petite bete qui etait a l'abandon avec un handicape. Je tentais de lui tenir compagnie pour ses heures dernieres. Je miolais sans savoir ce que je disais, il repondait automatiquement par un miolement qui ressemblait a un dechirement. J'ai tente de le nourrir avec un peu de lait que j'ai pris a la place d'un cafe et quelques petits poissons seches, ca lui a donne la chiasse, de toute facon, il ne tenait pas trop a cette vie avec des yeux malades et fermes, une jambe qui ne bougait plus et des agitations a la tete. Je l'avais trouvais la nuit lorsqu'un gros chat noir etait sur lui comme si c'etait un “game” avec une sourie. Peut etre lui a t il broye les cervicales et touche sa moelle epigniaire, puisque son systeme nerveu semblait atteint avec une trace peut etre bien de morsure au niveau du cou justement. La cruaute est dans toutes les races.
Aujourdh'ui j'ai travaille en clandestin en faisant de la peinture, dans un edifice erige a la memoire d'un Sultan du temps de jadis. il semblerait que je vais toucher l'equivalent de 2 euros/jour. C'est environs le prix de 4 repas populaires. A la bonheur, j'aurai au moins de quoi payer internet. Je ne suis tout de meme pas venu jusqu'ici a velo pour ca, mais il faut ce qu'il faut quand il le faut. Mais c'est loin de suffire a la charge du voyage inacheve. Je n'ai pas encore trouve une solution pour degager de la, ca me pese d'y demeurer plus que de raison mais je n'ai pas recu de l'aide de nulle part, du moins pas encore. on me demande souvent "qui est Ton sponsor?". l'aide en de pareils cas est, ni plus ni moins qu'un sponsoring NORMALE pour encourager un sportif dans son aventure. mais Les portes de la grace ne semblent pas ouvertes ces temps ci. Ce qui rend mon epreuve exceptionnellement tres dure. La litterature n'est pas un gagne pain, DU MOINS PAS ENCORE. Elle est juste un excercice d'exorcisme intellectuel et un refuge pour un esprit en mal etre parcequ'il ne se reconnait pas de ce monde. Ceci est ma realite du moment, d'un moment qui dure, je dirais meme. mais elle n'a ete que derisoire et futile depuis si longtemps; La realite! J'ai refuse d'y prendre part comme tout un chacun en ecoutant le souffle rebel qui me chante l'hymne a la liberte, cela m'a conduit a l'errance mais attendez de voir venir mes plus belles conclusions. elle vous serviront. la realite, disais-je! Elle m'a semble fausse depuis l'enfance et maintenant j'en ai la confirmation de l'age mure.
Depuis l'automne dernier les choses sont mises a l'epreuve, la verite de mes connaissances et la pensee elle meme est en examen. J'ai parfois l'impression de sortir droit d'un livre et cela m'inspire pour l'ecriture d'une belle tragedie dont je reve de rediger le scripte en vue d'un film eventuel. j'ai la une belle histoire. Encore faut il se poser quelque part pour s'adonner a l'ouvrage, la matiere est en abondance, il suffira d'un petit coup de pouce du destin pour le faire. Ce soir, j'ai du quitter une priere comme un voleur, j'en avais un besoin pressant que je n'ai pas pu contenir, j'ai fait dans mon pontalon, messieurs, dame, comme un enfant ne sachant se contenir. Ce que j'ai mange pour rompre le jeune du ramadan a fait un lavage expresse a mes instestins. J'en avais pour ma misere. J'ai lave le pantalon au savon et remis la chose trompe pour courir les fantomes de la nuit dans des rues qui m'ignorent. Fort de 2 euro, je me suis abrite dans ce cyber cafe ou l'on y joue a la guerre et a d'autres jeux de violence. Je vous ecris en vrac pour oublier ce chaton qui brise le coeur... Je ne sais ce qu'il en est de vous, c'est la fin des vaccances pour la plupart d'entre vous, c'est la reprise prochaine d'une nouvelle saison. Si j'etais a la place de certains d'entre vous, j'irais m'inscrire dans un club de karate et je me donnerais les ailes de cette volonte d'apprendre a me defendre, en sachant d'abord qui je suis. La pratique martiale met en lumiere nos capacites et nos defauts en permettant d'y parer a la longue. Allez y franchement, personne ne vous jugera. Bien au contraire, on vous y acceuillera dans ce qu'il y a de mieux en ecole de la vie. Ne reportez pas de si belles resolutions, faite le pour votre bien etre, cela vous servira comme il m'a sevi tout au long de mon aventure. Ne serait-ce pour le respect que vous inspirerez en souscrivant dans une voie salutaire tel que le karate. Ou que vous soyez, il y a bien un club qui vous ouvrira ses portes et si vous avez une hesitation sur le choix, contactez moi sur ma boite et je vous recommanderai a qui il vous faudrait. C'est l'occasion de vous engager avec force car les choses de la vie demanderont de plus en plus de resistance, de plus en plus de force du mental, d'endurance et de patience alors que nos nerfs n'ont pas toujours ete menages. Je ne vous fais pas la morale, loin de moi l'idee ni ne fais de proseletisme religieux lorsque j'evoque la foi. a chacun sa conscience. C'est un simple excercice de fraternite qu'il sieds a ma devotion.
Maintenant, il faut que j'ecrive a celle qui fut pour un temps ma patrie la plus chere et pour longtemps ma folie et mon enfer. Ce sera un message prive en lecture publique...

jeudi 20 août 2009

ON NE PEUT MIEUX RESUMER LA SITUATION


COMMENT DEFINIR LA SITUATION EN DE PAREILS CAS?


NI TOUT A FAIT VIVANT NI TOUT A FAIT MORT


voici la bague que m'a offert l'ami thai JAKAE



allez le plus loins possible?


ou juste s'y abandonner


aller prier?


se servir de ce qui est trouve sur la route?


soit c la chambre 101, ah tu ne sais pas ce qu'est la chambre 101...


et l'aventure te conduit la ou s'arrete la route a la porte de l'ocean...





non je reste la et j'bouge plus...


et que tu as un buffle qui semble deprimer et qui ne veut pas bouger de sa place


imagines toi sur cette route vers 18h30 et le soleil ne va pas tarder a se coucher alors que toi tu ne sais pas ou...imagine la fatigue de 100km...



mardi 18 août 2009

...Peu avant ma fin non glorieuse, j'avais échoué sur un pont brisé, entre les mondes de deux rives malheureuses...



le relachement du corps arbitral




equipe championne de malaisie, vous verrez la demo elle est superb mais je ne parviens pas a la telecharger





au petit matin sans incident nocturne


thanks for your...


visite des autorites sur mon lieu de camping improvise


un flirt prohibe.. mais a distance, c'est bien touchant



ici aussi


ICI FUT MA NUIT D'HOTEL






lundi 17 août 2009

Je sais que la plaidroirie de ma literature ressemble a une lamentation devant une porte close. Mais que faire du chant triste de mon ame si elle est faite de musique non moins incomprise que sa proses? L’une et l’autre portent l’essence et la douleur de la meme rose. Et au dela de mon propre inconsolable chagrin d’amour toutes les deux defendent au fond la meme cause. La mienne, la tienne, la notre parce qu’elles ne sont dans le firmament qu’un residu de la meme chose…me comprendre o confrere-soeur c’est chanter tes louanges a la grandeur que tu oses…

Vous vous demandez quel est le scret de ma nevrose?

Je l’ai aimee cette femme la jusqu’au martyre des sens et des mots que je composes. Je sais que cet amour me tuera de chagrin ou il fera de moi une virtuose…

Toutefois, votre lecture est pour le moins une manifestation de solidarite qui me repose.

ceremonie de cloture

WITH THE NICERS

WITH SWEET AND NICE GIRL

THE BEST OF MELACCA