dimanche 30 novembre 2008

ET BIEN JE VOUS SALUE TOUS


et voici Sophie la Presidente de fait et bientot de droit de human brother qui s'entraine au char de voile pour me rattrapper


constatez la quatite de viande, ici a Istanbul ta beaucoup moins


ne t'enerves pas mon gar...


the good boss


on me fait la pub


TU Y VA UNE FOIS TU Y RETOURNERAS C SUR


RABAH SE REGALE SUR LE COMPTE DU PATRON


LES PETITES PATISSERIES ORIENTALES HMMM


CAMEL ET RABAH LE GENTIL CLANDESTIN EXIBE MON PRESSESBOOK


les tarifs ne sont pas si chers eu regard a ce qu il vous serve et ca c vraiment genereux


2 mois deja et une certaine nostalgie...operation presentation du staff human-brother


samedi 29 novembre 2008

les petit points blanc c un village


g bien grimper la



et c plu rassurant ds un camping surveille


camping ou c possible mais il fo pa etre peureu



photo recente



la toscane


le bout du tunnel est proche


j'aime bien cette photo au port de Istanbul


on m'a offert un dejeuner a 15h et on ma retenu et g meme parle dans les classes


et je me ss lave ici


j'ai dormi juste a cote




operation blash back anniversaire des mes 2 mois sur la route





http://www.human-brother.fr/korviblog/livre_or.php

http://www.human-brother.fr/korviblog/livre_or.php voici le lien du livre d'or cree par stan pour mettre vos appreciations en attendant que yann l'integre dans le site et qu'ils soient remercies tous les deux pour ca ainsi que Patricia pour son premier commentaire. Patricia c'est ma petite soeurette, elle est d'une douce humanite qui vous surprend agreablement au moment qu'il faut. merci a vous la bande de human-brother et a ceux qui gravitent autour et qui vont nous rejoindre je l'espere.

en attendant un visa je ne fais qu'ecrire, les samourai etaient des poetes avant d'etres guerriers



Le president de human-brother et mon webmaster me deconseille cette litterature sur le blogg. Pour moi c’est un moyen de rester en contact avec ma patrie et rien de tel que l’exercice de ta langue pour t’y maintenir sur tout lorsque tu es expatrie. Qu’en pensez vous? Vous pouvez repondre soit directement sur mon e-mail, soit via le forum voir le livre d’or qui sont en cours de creation. En attendant, je m’exprime avec les mots qui sonts les miens en fonction de mes etats, car c’est aussi une maniere de partager avec vous tout ce qui est en rapport avec cette aventure humaine. Je sais que personne ne m’a mis a la rue encore moins hors de France, c’est un choix personnel et non la fatalite. je ne me lamente pas meme si mon ecriture semble aussi sombre que l’encre qui la materialse sur ces pages illuminees...
Je me rapelle cette phrase dans "la ligne rouge" : "ils veulent que tu meurs ou que tu mentes avec eux". Si tu l’ouvres, pour dire une pensée que tu crois légitime mais sans l’habiller avec ta peur, c’est donc toi qui fait alors peur à des êtres réputés supérieurs. Ils veulent que tu t’écrases plus bas que le silence et qu’à leur passage tu t’applatisses, tu rampes et tu montres les signes de ta soumission, pour qu’ils daignent te jetter les mets d’un semblant de reconnaissance. "Plus on approche de Cesar, plus la peur est grande" disait-on autrefois et moins on approche des imposteurs moins on est sujet à la tourmente. Car au fond, ce ne sont pas les forts qui nous mentent. Dans le passé, j’ai rencontré des chiens et d’autres personnes et rarement un homme qui respecte sa parole. Devant toi, ils disent oui et dès que tu as le dos tourné, ils passent à d’autres mensonges, pour duper d’autres victimes. Ainsi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Que d’amertumes me diras-tu ô l’ami de la connaissance ! Oui peut-être, mais quelle considération, est celle de ta propre estime pour toi-même lorsque tu es seul à te comprendre! Lèves-toi et marches dans cet enfer de l’indifférence et produis tes propres réponses. Il n’y a plus rien qui puisse te corrompre lorsque tu as ouvert ton coeur à sa conscience. Ne crains pas la désillusion qui émane de la rupture qu’on t’impose et renvoie au diable quiconque ferme la main en même temps qu’il te la tende car il n’y a rien de fraternel dans son action. Juste l’escroquerie d’une mauvaise histoire d’un dessins animés, il n’y a ni coeur, ni paisibles projections, ni aucune volonté d’échange. Avances, avances seul, sans compagnie qui dérange la pureté de ta vision. Avances, c’est ton destin qui fera sa revanche sur les agents du temps dans sa funeste vigilance. Lorsque tout te semble fini alors envisages cette fin comme le début d’autre chose et que ce qui va commencer est peut etre plus grand.

un chant triste....


J’entends de loin le gémissement de la patrie, je pénètre ma poésie et j’habite la révolte.
Je suis le nauffragé de la plume, la tempête des mots et pour la colère je suis la récolte.
Je suis le palmier qu’on a brûlé, je suis l’olivier qu’on a amputé sur un champ de fautes.
La raison est ma mémoire, les larmes sont mes amies, je subis, j’encaisse, mais je note .
Là-bas dort ma rose, bien triste, entourée par un champ de ronces et un tas d’âmes sottes .
La France pleurera-t-elle ma perte, dans la clarté de notre liberté piétinée par des bottes?
J’incline ma langue devant sa vérité et me redresse fier de son drapeau que je transporte.
_______ 8_______

…A ton approche Rebelle, tout ce qu’il y a dans mon cœur expire, mais je ne sais comment le dire avant de déchirer dans le registre de l’enfer les sombres chapitres de mes fautes. Et d’erreur fondamentale, je ne suis pas fier d’avoir placé l’amour en dehors de sa sphère. D’autant plus qu’au lieu de souscrire à l’investissement éternel, j’ai versé dans la culture de l’éphémère. Et s’il ne m’était donné la chance de te connaître, l’ensemble de mon être aurait sombré dans l’imprévisible troue noir de l’univers. Mais j’ai cette chance et ce devoir de porter aux plus hautes cimes ton estime comme ma gratitude pour tant de possible bonheur…Et le doux ruissellement de mes verbes, ne m’est aussi naturel que parce que le charme de ton sourire est si envoûtant…

vendredi 28 novembre 2008

en resume



C’est au cœur d’Istanbul ou je suis en attente d'un visa que je rédige à l’intention des précieux lecteurs ces quelques nouvelles de mon périple. D’abord, je dois reconnaitre que mes entrainements du karaté durant ces dernières trente années sont pour beaucoup dans ma préparation, aussi bien physique que mentale.

Je suis satisfait de n’avoir pas eu à déplorer de crampes malgrè le fait que je fais du vélo presque tous les jours à raison de 8h voir 10h et bien plus encore lorsque je ne trouve pas d’abri pour m’établir la nuit.

Vous allez vous étonner peut-être de l’apprendre, mais je vous assure que je m’entraine au karaté parfois tout en pédalant, qui plus est lorsque la fatigue s’installe et qu’il devient vraiment difficile, voir pénible d’avancer. Comment me diriez vous! C’est simple, lorsque les batteries semblent à plat, je fais appel au mental en puisant au plus profond de ce qui m’a motivé à faire ce long périple, et au lieu de presser avec la partie "kochi" de mes pieds,comme le font généralement les cyclistes je me sers de l’avantage de la pédale automatique en faisant monter au plus haut le genou, comme pour l’arracher à son attache pour donner un maigeri.

Ainsi je détourne ma pensée vers ce travail en imaginant améliorer l’efficacité de mon maigeri. Je vous assure que ça marche. Parfois lorsque c’est vraiment galère sous la pluie et le vent, au lieu de me plaindre de mon sort là où personne ne vous entend, je me dis: "tu es à l’entrainement mon gars, tu veux passer 5ième dan et bien prépare-toi à un examen dur ; alors je m’inspire des regrettés, maitre Kase et maitre Oyama, pour ne citer qu’eux, que leur mémoire soit en paix.

Un entrainement à l’ancienne méthode, une répétition par millier et comme par miracle, je retrouve à force de volonté et d’effort ce qu’on appelle le second souffle chez les boxeurs. Et là je reprends de plus belle.
Aussi comme me l’a dit le DTN le jour de mon départ devant la fédé, tu pourras "tirer en moins de 60 kg à ton retour" en me répondant avec un grand sourire, lorsque j’ai dit aux instances fédérales que j’allais devenir sec en fin du voyage. J’en suis persuadé maintenant qu'il ne sera pas aisé d’encaisser mon maigeri, permettez moi cette flatterie.

Aussi ce voyage m’a déjà appris le véritable sens de la relativité, tant en rapport avec la question du temps qu’avec celle de l’espace, que je replie avec une moyenne de 20km /h lorsque c’est plat et de 12km/h lorsque c’est accidenté, 5 km/h en marchant lorsque c’est très dur a grimper avec mes presque 200kg car j’ai bien maigri depuis mes 107 kg et des 54km/h en descente je vous prie, ouf !!! Après les grosses montées. j'ai meme double tracteur et camion...hihi..
C’est vrai qu’il y a là une école pour savoir relativiser les choses d’une manière générale. Il est à noter aussi que le risque est quasi permanent sur la route, à vélo la vie ne tient plus qu’a un fil, j’en ai grandement conscience et c’est peut-être ce qui donne un sens plus élevé à mon action.

Il y a aussi, des chiens qui vous coursent la nuit alors que vous êtes crevé et vous n’avez pas trouvé d’abri, que vous appréhendez ce que l’imaginaire obscur d’un homme épuisé peut vous faire craindre ou simplement regretter le confort et l’assurance d’un foyer que vous avez quitté. En Toscane 4 chiens m’avaient fait carrément chuter de mon vélo au milieu de la route...
des conducteurs zarbi on demande ou ils ont obtenu le permis, un camion qui ne connait pas les limitations de vitesses, on n’est plus en France là et la règlementation c’est comme on veut, il y a même des voitures qui roulent en sens inverse lorsqu’il y a deux voies séparées, j’ai vu ça en Turquie, ou lorsque l’accotement est en gravier glissant, bonjour le dérapage, j’ai failli tomber dans une crevasse un jour ou rien n’allait, ... et en Italie, le dimanche, j’ai été doublé par des voitures de courses dont les conducteurs s’amusent sur la route comme des fous...

Mais il y a aussi l’émerveillement devant une nature si belle si majestueuse et si généreuse à la fois. Il me semble que je n’ai jamais autant dit ouaaaah!...

J’ai eu aussi la chance de rencontrer des gens merveilleux qui vous réconfortent par leur humanité, à la fois simple et si attachante. En France, j’étais étonné de la générosité de certaines personnes. Par exemple à Morez pas très loin de la frontière suisse, en attendant un journaliste local et Alain le DTD du Haut-Jura avec lequel nous allions faire une animation de karaté pour des enfants, un monsieur d’un certain âge, un ancien combattant, regardait ma monture et pour satisfaire à sa curiosité, il est venu vers moi, m’a posé des questions et puis, il m’a dit :"tu as besoin d’argent" et il m’a donné 10 euros en disant regretter de ne pas avoir plus sur lui. Alain le DTD m’a offert l’hôtel et le patron de l’hôtel lui-même m’a donné 20 euros le jour de mon départ. En Suisse, le patron du camping qui est situé juste à côté du C.I.O à Lausanne m’a offert trois nuits gratuites. J’ai même trouvé un sac rempli de pommes devant ma modeste tente un soir. Les organisateurs de la semaine olympique m’ont offert une veste anti-pluie aux couleurs olympiques et des déjeuners au restaurant avec le staff, pendant les trois jours ou j’ai initié au karaté dans le stand ouvert à ce propos. Sur la route en Suisse, un soir de pleine lune, à la tombée de la nuit, je n’arrivais pas à trouver ni chambre d’hôtel ni camping, un monsieur de père suisse et de mère normande m’a offert une belle grappe de raisin avec de l’eau et un autre m’a attendu sur la route quelques km plus loin et qui m’a carrément invité chez lui, juste avant que je ne désespère trouver un abri ; sur mon blog il est en photo avec son épouse. Une demoiselle m’attendait sur un parking sur la route de Luzerne pour assouvir sa curiosité me disait-elle et puis elle m’a donné 10 francs suisses, en Turquie j’ai rencontré une générosité qui vous fait oublier les petites misères de l’épreuve quotidienne... On m’a donné des fruits, du miel, hébergé, encouragé, exprimé de l’admiration, posé des questions sur les raisons de mon périple...
Et je ne vous parle pas de la publicité faite pour le karaté. Des milliers de personnes ont vu et probablement davantage qui verront encore tout au long de mon parcours la plaque sur ma remorque ou il est écrit karaté olympique. C’est une jolie façon de faire la promotion de notre sport et notre art n’est ce pas! Comme on me la dit au siège du C.I.O.

Je dois dire aussi que parfois j’ai des doutes, des remises en questions et des larmes sans retenues comme des pudiques aussi. Et en confrontant mes démons je me le rappelle à moi-même : que c’est d'abord un défi personnel et un parcours initiatiques qui fait grandir et qui élève le karaté do.

A ce propos, le moment le plus dur de mon voyage, c’était quand la fédération grecque m’a annoncé que la fédération mondiale de karaté leur a adressé un mail, suite auquel ils ont suspendu le soutien qu’ils avaient prévu à mon endroit et dont j’ai grandement besoin pour poursuivre mon action. J’ai ressenti une telle déception en sus d’un vide total et complet. Je me suis senti livré à moi-même dans un désert rempli de colère et de révolte. Si j’étais à la montagne, j’aurai poussé un kiaiii pour vider une colère sans retenue!!! Pour faire résonner les sommets par l’écho de ce sentiment de détresse et pour faire entendre le requiem de cette émotion déchirée à qui saurait comprendre mon désarroi. Je suis resté assis un certain temps par terre en regardant ma monture, mes drapeaux, et tout en étant envahi par un sentiment de pitié, j’avais l’impression d’être seul au monde, acculé avec pour obligation de confronter le trou noir de l’univers, juste pour survivre à cette désillusion aussi brutale et dont je me serait passé volontiers en de telles circonstances. Ensuite j’ai rassemblé les débris de l’espoir disloqué et j’ai décidé de relever le défi sans m’attendre à l’aide des fédérations en comptant sur les ressources de la providence. C’est en quelque sorte l’épreuve de la foi et celle du combattant aussi qui peut renverser une défaite annoncée peu avant la fin du combat en triomphant même de l’hostilité. La providence est un fait, je n’en suis pas déçu, bien au contraire, je suis plutôt agréablement surpris de recevoir le soutien de gens qui n’ont aucun rapport avec le karaté, mais je déplore pour notre discipline que cette opportunité médiatique offerte par mon périple ne soit plus exploitée à hauteur de l’exploit qui l’accompagne.

Aussi, j’avance d’étape en étape sans avoir la garantie du moins financière pour prétendre pouvoir poursuivre celle qui viendra après. C’est l’inconnu de l’aventure par excellence à plus d’un égard.

Je trouve que ce serait une idée de faire des petits stages ambulants par exemple pour découvrir les jolis paysages de la belle France, pour à la fois pratiquer l’art, en faire la promotion et ajouter à tout cela l’esprit de la découverte et de l’aventure, c’est une suggestion à exploiter. Une sorte de rencontre entre clubs. Ça donnerait un nouveau souffle et d’autres élans fraternels aux membres de notre grande famille des arts martiaux.

Enfin, je trouve un certain réconfort de porter cet idéal à travers les contrées lointaines. Cela me donne l’impression de poursuivre un rêve très grand à travers l’espace.

En ce qui concerne le mental j’ai plutôt résolu de faire preuve de volonté et de détermination et à l'origine de cette attitude déterminée et responsable que je pratique au quotidien avec fierté, le karaté semble fondamentalement présent ; car pour moi, il est un art de vivre et un mode d’épanouissement. Et oui, comme l'a dit monsieur MAUCHIEN, j’en suis passionné devant l’Eternel. En conclusion, je compte sur le soutien des karatékas qui sont sensibles à cette quête mais je ne sais pas comment le traduire en carburant utile à mon élan. Qui voudra bien m'épauler pourra me contacter soit le site web http://www.human-brother.fr/ en rappelant que des petits ruisseaux font de grandes rivières et toute aide aussi modeste soit sera considérée avec estime.
HAMZA Le Cyclo-Karatéka pour le karate olympique.

mercredi 26 novembre 2008

litterature

Traverser le désert en portant son fardeau voir sa potence loin de la raillerie de la populasse, contempler le ciel en implorant le pardon, parler à soi en se réconfortant de ne plus avoir peur des hommes ni de leurs décisions, se réjouir à l’idée de se soustraire à toute forme de corruption en s’échappant au contrôle du pouvoir qui la produit, ne pas craindre les vipères qui se dissimulent derrière de belles apparences, ni les scorpions ni les serpents car la peur n’est rien de plus qu’un imaginaire fébrile. Regarder plus loin que l’horizon lorsque la réalite semble se refermer à l’espoir et comprendre que rien n’est acquit définitivement. particulièrement pour ceux qui avancent toujours des exuses lorsqu’on fait appel à eux, en se derobant perpétuellement à ce qu’il sont sensés faire ou dire pour faire avancer favorablement les choses. Ne plus dépendre de ce qui aliène l’esprit et la volonté pour soumettre la conscience et asservir l’être tout entier et ne plus craindre la mort car cette fin nécessaire viendra quand elle viendra... Comprendre surtout que la peur est issue de nos péchés car ceux qui connaissent la paix sont au-dessus des reproches.

eclaircissement

éclaircissement
Un karatéka m’a interpelé sur mon mail en me demandant un éclaircissement. Je lui réponds franchement à lui et à qui voudra l’entendre. J’ai un grand respect pour les instances fédérales et particulièrement à Francis DIDIER comme à Alcino ALVES PIRES que j’ai toujours trouvé présent en temps de besoin, lui et monsieur ROZA pour qui je voue un profond respect. Mais cela ne m’enpêche pas d’avoir un grief contre le président de la fédération mondiale qui m’a privé du soutien des autres fédérations une fois parti alors que je suis en si bon chemin. C’est dur d’être laissé pour compte n’est ce pas ! Monsieur le président mondial. Je me souviens des paroles des cadres de la fédération et notament de Tramontini GIOVANNI que j’apprécie particulièrement lorsqu’il a dit " La fédération c’est vous, les profs et les pratiquants" seulement les confrères ont peur de s’exprimer et de dire ce qu’ils ne pensent pas bon pour nous tous. Pour ma part, ce n’est pas pour rien que je suis sur les routes, c’est parce que quand j’aime je le fais savoir et je le dis, bien sûr à ma manière et ça ne plait pas forcément. Il faut me lire dans ma dialectique et considérer l’esprit du poète qui m’habite. Et il ne faut pas trop me tenir grief pour ma litterature, la France a nourrit cet esprit libre qui me guide. Je ne peux l’inhiber. Et si par mon propos j’ai écorché certaines consciences, j’en serais navré, ce n’était pas mon but. Néanmoins, je préfère déranger un peu avec toute la sincérité du monde pour le bien de nous tous que de taire mes doléances comme certains de nos confrères et qui ne prennent pas des licences pour tous leurs élèves. Combien ? Oui ô combien nous serions plus nombreux point de vue chiffre si tous les clubs remplissaient la part de leurs obligations. Nos instances seront plus a l’aise financièrement et notre art et sport sera grandi aux yeux de tous. Encore une fois, j’exprime mon profond respect pour Francis DIDIER et tous ses suppléants jusqu’au plus petit prof de France. Exception faite de l’élève qui m’a trahi lorsque j’etais au creux de la vague. Celui-la n’est pas digne de porter un karaté gi et si l’on etait au temps anciens, je lui ferais avaler l’objet de sa trahison mais il le payera car la trahison ne profitera pas au long terme a son auteur. Moi j’ai toujours respecté mes supérieurs hierarchiques même si je n’étais pas toujours d’accord avec certaines choses. C’est la discipline martiale à laquelle j’adhère de mon plein gré. Et de toute façon, je ne cherche ni à me mettre au devant ni attirer l’attention sur ma personne, car je ne suis personne sur le registre du mérite, juste un gars orphelin de la conscience comme de père et de mère. J’ai été accueilli par la France après de bien douloureuses épreuves et à jamais ma reconnaissance lui sera acquise. Je me défini un peu comme ce frère de l’humanité qui parfois, voire souvent, dérange pour que les choses changent dans le bon sens pour le bien de tous. Naïf peut-être, mais j’ai une telle conscience. Peut-être que rien de moi ne subsistera à ce voyage excepté cette noble attention que j’ai pour être utile au karaté un tant soit peu ainsi que pour honorer tous ceux qui jouent un rôle pour sa promotion et bien sûr honorer par-dessus tout la superbe France des Droits de l’Homme. Car avant même ma naturalisation, j’ai toujours pleuré à l’écho de son hymne national et je me souviens très bien du préambule de la constitution "Tous les êtres naissent libres et égaux en dignité et en droit, doivent agir les uns avec les autres dans un espoir de fraternité"...Bien que je n’ai pas toujours joui de la reconnaissance que j’estimais légitime, je ne cours plus derrière elle, je veux juste accomplir une belle oeuvre en rêvant ériger un pont de fraternité entre les hommes et les mondes. Je m’en suis donné ce droit même si je n’en ai pas les moyens. Et si la fédération mondiale reconsidererait mon action à la lumière de cette noble intention pour qu’un soutien vienne m’epauler lors de cette difficile épreuve, ma reconnaissance n’en sera que plus grande. Sinon je ferai ce que je pourrai avec presque rien de plus que ma volonté tout en étant en paix avec mes convictions. Voila mon ami une réponse mode Hamza. Je suis zen et j’avance sans reproche pour dire que le karaté mérite bien d’être au programme des jeux olympiques. Et comme j’aime l’Asie en général et je respecte le Japon particulièrement pour son histoire de samouraï et d’arts martiaux modernes, je le soutiens symboliquement à titre personnel. Sans plus de prétentions que l’effort, la volonté et le courage de replier tout cet espace avec des moyens dérisoires. Ah ! une parenthèse, à quelque km d’Athènes, j’ai eu une discussion avec une dame de fer d’un réalisme qui avorterait les rêves les plus audacieux, elle m’a dit avec son air supérieur et en substance, à quoi ça rime ton truc là, l’air de dire toi et ton vélo et ta remorque et tes petites misères, qu’est ce que tu vas changer à la face du monde. Bien sûr comme l’a dit avant elle le professionnel journaliste sur Radio France Bleue en Normandie, mr Quesnel, "Evidemment Hamza ne fait pas le même poids" en parlant du président du C.I.O coréen qui a fait rentrer le taikwondo au j.o. Bien sûr, moi je ne suis peut-être personne, mais je traîte bien l’humanité...

mardi 25 novembre 2008

requiem de mon ame en vibration...


L’orphelin dit au temps: Je ne semble pas fait pour ce système car il est incapable de m’épanouir, désormais, j’en ai la certitude. Y a t il des gens qui lui survivent autres que les pirates et les interdits en tout genre. Y a t il un moyen pacifique de poursuivre son humanité sans heurt avec rien ni personne? Sommes nous déjà en apocalypse sans nous rendre compte des dégâts ? le constat est plus qu’amer en comparaison avec la simplicité de la nature qui s’offre encore naïve encore innocente malgré nos multiples agressions. Je me pose la question du berger qui découvre la science, la question de l’enfant qui osculte les raisons d’une panique planétaire et qui cherche à comprendre comme s’il devait être interroge en examen public. Où est la belle France, où est ma mère où sont les amis qui tenderaient la main au nauffrager de la connaissance? Aurais je une chance de tendre la mienne à qui se trouverait dans la nécessité? Aurais- je le pouvoir de soustraire à l’affolement une âme blême? Pourquoi la vérite est elle si dure à vivre alors que la duperie s’en donne a coeur joie? Qui peut m’extraire de cette enfer de l’insuffisance? Qui peut éteindre le feu de nos fautes communes? Y a t il une seconde chance pour arpenter l’échelle du bien? Serait ce la naissance d’un écrivain? La souffrance du penseur? Ou n’est ce que la folie d’une longue errance d’un poête perdu à travers l’incompréhension, là oû il prétend tout savoir de l’être et de la vie? Qui peut tourner la page sans transférer l’emprunte de l’ancienne écriture sur celle qu’il ouvre et qu’il croit vierge de tout soupson? Y a t il une issue au froid dans les ténèbres de l’illusion? A quand le messie qui nous guidera vers la vallée amène pour que fleurisse l’humanité comme un champs de roses blanches emmergeant des cendres? Y a t il une issue a mon ignorance?
Le temps lui répond avec un soupir qui secoue la terre endormie en chacun de nous: toi tu as le drame de cette romance comme patrie mais moi je n’ai plus de langue pour dire ce que les hommes ont fait de moi...
dinerons nous ensemble lorsque mes cheveux auraient blanchis? Et bien que dire si de moi meme il restera de quoi parler devant l’eternite, repond t il! Un sourir au levre qui vous glace le sang. C’est bien triste de le dire et c’est plus puissant à entendre pour celui qui me comprend...et je souri comme un enfant...

LE SOUTIEN DE MON AMI MAITRE LEECHE YANG EN DEMO A SUPER U A MAROMME AVANT MON DEPART


VOICI LA CARTE POSTALE QUI POURRAIT M'AIDER A AVANCER


au carrefour de la Revolution...

Pour simple information à toutes les personnes assises dans le confort d’un foyer chaleureux, j’allègue sincèrement depuis ce froid oriental et le verbe est à la vérité car je ne saurais mentir dans ma condition ni ne peux négliger la réalité de ce qui est, je le dis en témoignage pour la postérité, lorsque j’ai rencontré Francis DIDIER j’ai trouvé une compréhension, un encouragement et un soutien qui a motivé d'avantage ma demarche. J’ai rencontré de même chez Alcino ALVES PIRES, Giovanni TRAMONTINI, Thierry MACI, Antoine ROZA, Jean Paul REUSSER, Dominique VALERA, et les experts fédéraux et beaucoup de profs de France que j’ai rencontré et bien d’autres cadres de la ligue de Normandie ainsi que certaines personnalités publiques et des proches, amis ou de simples connaissances. La ligue m’a aidé et la fédération m’a payé une tenue de cycliste waterproof et promis une aide financière tout en acceptant de me faire des cartes postales dont vous trouverez une copie dans le rayon photo. Des demandes de sponsors sont envoyées aux conseils : Général, Départemental, l’agglo de Rouen, aux mairies de Maromme, Petit et Grand Quevilly ainsi qu’un dossier pour le comité de candidature de Tokyo et au ministère du sport et probablement à d’autres institutions. A l’heure actuelle Sophie me dit n’avoir rien reçu comme réponse qui m’aiderait à envisager de poursuivre mon cheminement dans la sérénité. Neanmoins, je continuerai ma route dès l’obtention d’un visa avec un mental digne de l’école de sosei Masutastsu OYAMA. Aussi, le soutien de base de la fédération française de karaté est mis en branle par l’intervention du Président espagnol de la fédération mondiale du karaté qui a mis des bâtons dans les rouages d’une machine bien lancée. Le prétexte avancé est mon soutien pour Tokyo. Je m’en suis rendu complètement compte de son intervention négative en Grèce ou plus précisément à la fédération grecque de karaté qui devait même organiser quelque chose à mon arrivée en terre olympique. Pourquoi donc monsieur le Président me priver du soutien fédéral? Aurais-je dû soutenir la candidature de Madrid ?
Mon action cesserait-elle de servir le karaté parce qu’à titre personnel, j’ai fait le choix de soutenir symboliquement Tokyo ? Je donnerai sans doute une suite à cette intervention lors de l’écriture d’un ouvrage sur cette difficile aventure et dont l’inspiration est bel et bien généreuse. Abdou le DTD et prof à Caen pense que les confrères supposent que j’ai un budget bouclé et que la fédération s’est chargée de subvenir à tous les besoins de cette action. Si c’était le cas vraiment et entièrement je ne vois vraiment pas pourquoi réclamer une aide. Seulement, il ne s’agit pas de demander une espèce d’aumône. Cela ne se peut ni ne convient à l’homme que je suis et dont beaucoup semblent ignorer les capacités et les ressources profondes. Il faut normalement envisager de résoudre les problèmes mécaniques et s’acquitter des droits de passage dans ces contrées que je traverse en hissant les couleurs de France, de Normandie, du Karaté, de l’Olympisme, du Japon et du courage nécéssaire pour replier tout cet espace avec des moyens dérisoires. "I am going as far as possible..." et lorsque je ne pourrai plus matériellement parlant, je le ferai savoir sans accuser le responsable de cet éventuel échec, car le destin de ce qui a commencé s’en chargera naturellement. Ce voyage m’éclaire sur le pouvoir d’une volonté suprême qui régit l’univers, je le constate au quotidien et particulièrement lorsque certains ferment leur porte devant mon nez lorsque je laisse échapper l’écho de ma faiblesse en sollicitant de l’aide. Au fait, je suis tenté de fermer moi-même la porte à toute attitude négative qui tente de saper le moral de cette percée. Bien sûr, je rassure Sophie qui m’a transmis un message "il faut qu’il fasse attention a ce qu’il dit" c’est si curieux de l’entendre mais j’ai cessé d’avoir peur, advienne ce qu’il adviendra. Rien n’est sans conséquences dans ce monde, je le sais très bien et la liberté plus que tout, je le sais par expérience. Et ce n’est pas parce que je me tairai comme j’ai observé un long silence que ma vie ni celle des autres va s’ameliorer. Il se pourrait même que je rende certaines aides si leurs natures viendraient à corrompre la pureté de mon intention et la grandeur de ma liberté. Le propre du destin d’un samouraï est de vivre avec le spectre de la mort en toute heure et ce n’est qu’à ce prix qu’il vive pleinement, et c’est ainsi que je l’envisage dans la pauvreté, le froid, la faim ou que sais-je de ce qui m’attend. Allez sans confondre ce qui est personnel que ce soit tourment, réflexion, gémissement au froid ou grandiose conviction devant l’Eternel. In fact, je suis au carrefour de la révolution. Je me libère des illusions et je me détache de la dérision des activités humaines, bien que je serve le karaté et ses pratiquants du mieux que je peux et je pourrais ainsi que toutes ses valeurs d’élévation. Je pratique ce que je pense et je pédale pour la fraternité entre les hommes meme si je laisse échapper quelques légitimes colères, ceci est des plus humain...
A sophie, j’exprime mes condoléances pour la perte de sa tante et je dis mon affection comme à Catherine. A Yann, Abdou, Philippe,Nicholas, Christopher,Camel je dirais que mon amitié vous rendra tout ce que vous avez fait pour moi, en son temps. Et comme je n’ai pas l’intention de m’éteindre avant d’accomplir un bien plus grand que ma détresse actuelle et qui soit digne de la largesse de mon âme, j’en suis sûr que je comblerai jusqu’à la satisfaction toute personne qui m’est venu en aide en ces heures critiques... L’ami véritable est celui qu’on trouve en temps de besoin comme le disait Yannick et l’épreuve qui ne tue pas nous rend plus fort disent ceux qui ont compris l’essentiel...

belle ecriture


ETATS D'AME

Voilà où j’en suis,
Mes arrières logistiques si j’ose cette définition me recommandent d’une voix unanime de rebrousser chemin car les sponsors tardent à répondre à l’appel. Et nul ne semble là pour répondre à l’urgence pour payer visas, taxes, voire le transport pour contourner l’impossibilité d’obtenir certains visas en cours de route et aussi de quoi procéder à quelques réparations sur mon véhicule. Retourner en France alors que je suis en si bon chemin, alors que j’ai suffisament de volonté, de motivation et d’energie pour aller au bout de la terre voir sur la lune. Cela me semble contraire à l’esprit de cette aventure comme aux promesses de liberté dont j’ai besoin pour continuer à survivre. J’ai rendu l’appartement, donné mes affaires et vendu ma vidiothèque. J’ai donné gazinière réfrégirateur ustensiles de cuisine et même mes couvertures et mes chats. Je n’ai donc plus rien que l’espoir d’aller au bout de ce défi personnel pour me reconstituer d’un drame et pour honorer la memoire de maitre oyama qui m’a inspiré cette quête et cette recherche de la vérité ultime . Cela frise une longue tragédie depuis mon premier exil, il y a plus d’un quart de siècle. J’ai naturellement envisagé ce voyage pour me rendre utile, un tant soi peu. Me voilà au depourvu universel dans un pays étranger ou le retour en arrière releverait du châtiment. Je ne sais pas vraiment qu’elle en serait l’issue à cette misere qui m’inflige.Mais, j’entrevois tout de même une grande ouverture destinale derrière les portes closes du monde et des egos sans envergure. Je sais pertinament que désormais tout peut arriver, le pire comme le meilleur puisque je suis en mouvement vers l’inconnu. Certains me reprochent maintenant d’être parti dans la précipitation, sans avoir bouclé le budget, d’abord Yann et maintenant Sophie. Ce n’est plus le moment de me faire des réflexions de cet ordre. Non! ce n’est pas ce que j’ai besoin d’entendre pour trouver une résolution honorable. L’intelligence concise de l’un de mes meilleurs amis, Abdou, ne trouve pas de stimulation positive non plus, qui plus est, conseille un retour au bercaille, oui mais lequel? L’admiration de certaines âmes élevées et sensibles à cette quête existentielle comme à cette volonté de liberté m’oblige par l’espérance et la confiance émise. Renoncer et baisser les bras! Non! Ce n’est pas ce que la majestueuse France m’a enseigné. Ce n’est pas non plus dans mon caractère de faire taire ce qui est beau et ce qui élève même si je déplore une carence financière. J’envisage le triomphe de l’esprit et de la volonté contre l’idolâtrie de l’argent...

lundi 24 novembre 2008

ce texte je l'offre a Nicolas pour sa noble intention avec un vif remerciement pour son soutien

voici son e-mail: bonjour Hamza; juste un message pour te demander une petit chose. J'ai vu que tu avais un compte paypal en lisant ton blog avec assiduité

Peux tu me donner les références de ton compte afin que je puisse participer modestement à ton aventure...
Nicolas de go sport

merci Nicolas, si toutes mes connaissance participerait du peu qu'ils peuvent j'aurais tout le carburant dont j'ai besoin d'avancer dans grand froids qui s'abat sur le monde, encore une fois merci pour ta gentillesse...


Tu vois!...
Attendre dans le hall d’un consulat, pour obtenir un visa, avec l’impression d’être un mendiant dans un tribunal, la peur au ventre comme si l’on craint d’être accuse à tort d’un crime dont on n’ose à peine imaginer le châtiment, savoir que l’on ne doit pas revenir à l’abime d’un passé qui nous a rejeté et espérer sans trop croire recevoir un permis de transit pour l’indésirable étranger et recommencer cet accouchement un peu plus loin, un peu plus tard, en d’autres lieux sans interrompre le voyage, ni décevoir la promesse de la liberté, serait-il donc cela mon dessein d’orphelin de l’existence et d’exilé du fond des âges? Se sentir en deçà en les voyant mentir, pleurer de joie en explorant le martyr et dire assez à l’incohérence des plans derrière les plans... lorsque tu en es là et quand seule la vérité peut te ravir, c’est que tu n’es déjà plus de ce monde derrière le monde, puisque tu vois dans l’au-delà...
Encaisser la fourberie qui tente et qui s’en va, s’abriter du froid des paroles qu’on te dit, voici la science d’être vêtu en Roi par mis des nus...Comble d’éloges au sein des morts lorsque l’appel est à la vie en les laissant confondre entre la liberté et la folie. Enivre toi du Réel plus que tu n’es seul à te comprendre lorsque l’intelligence des autres te semble tanguer... Sourire à la dérision lorsque le théâtre est rempli de fantômes... Attendre la mort en allant vers elle et accueille la vie qui s’offre sans te soucier de la nécessité... pleure autant qu’il pleut sur la cité endormie si cela te soulage d’un trop plein de conscience... comme tu as bien fait d’être seul là ou il n’y a pas vraiment d’ami... consignes pèle mêle l’émotion de l’aventure et réjouis-toi de rencontrer un anarchiste au cœur débordant d’humanité et lorsque le ventre chante l’hymne à la faim, lève-toi pour écrire à la fortune le récit de ta pauvreté et n’envie pas la richesse des pauvres... laisse les t’abandonner à ton destin plutôt que de te plaindre d’eux plus que de toi-même à celui qui sait tout du silence des choses secrètes, car tu es l’un des nôtres, nous autres, oui nous autres les inconnus de l’univers... Sourire au génie de l’espace qui te dérobe à l’indiscrétion comme un mouroir à l’injustice et finis tes jours sans en commettre... Laisse les rire de tes échecs en oubliant leur perte existentielle pendant que tu ramasses les débris du temps disloqué comme les émotions disparates de l’automne, juste pour en faire un feu et te réchauffer d’une terrible solitude... C’est une belle errance en hiver que de quitter le mensonge d’un système à genou devant un soleil trop inaccessible... Rappelle-toi à toi-même les sonnets d’amour à défaut que l’on ne te réconforte en te souvenant que le printemps viendra après ces pleurs...

dimanche 23 novembre 2008






la mosquee bleu


sainte sophia de nuit



il fait si froids cette nuit a Istambul mais vous avez ces photos


pour sophie


Par une nuit etrange,
L’hiver arrive a pas de militaire sur la magestueuse Turquie. Istambul par une nuit de grande fraicheur et de bien plus froide solitude, je suis perche au sommet de cette inquietude qui caresse mon insomnie et qui me dicte de consigner la litterature de ce qui est, sans plus jamais craindre l’avenir. Ecrire, voila ce que j’ai l’ami pour enrober de miel le dos de mes reflexions et pour ne pas mourir seul au silence de la nuit. Une voix sobre proclame la fin de l’errance dans la poesie. Tu sembles devenir une precieuse solution au trop plein de souffrance comme au fardeau de la vie sans foyer chaleureux ni campagne qui rassure,te dis-tu a toi meme! En affirmant sans science que la raison est fidele au tourments de l’esprit et que la relation est d’abord avec soi car ainsi va la vie, lorsque l’etre arrive, car il vient en unique reel dans cette sphere bordee d’apocalypse. C’est vain de feindre ne pas comprendre ce qui arrive a l’heure du bilan.mais l’affaire n’est pas que misere et finance, c’est aussi et surtout l’eclosion d’un proche printemps dans le desert de la conscience. Pleure tu l’ami des heures creuses, au secret de ton insuffisance des larmes de joix, en expliquant au regret qu’il faille mieux oser...?
Te sentir seul au monde tel un oiseau etrange sur un nuage comme on est un simple etranger de passage vers d’autres lieues sans faculte de prevoir le bout des soucis. Rever a des paisibles demeures qui t’acceuillent pour faire oublier ton amour perdu et pour t’aider a croire en celui qu’on dit te porter a nouveau,pour croire qu’en fin le temps a cesse de corrompre. Acquiesses avec humilite le constat de ton ignorance a l’endroit du bien qui pourra te surprendre, lorsque tu t’y attendra le moins. Acceptes que la foi te submerge et qu’une main salutaire te delivre du nauffrage universel. N’ais crainte o l’ami des heures solitaires, que le temps des tourments ne rende l’ame, en te laissant nu, car tu sera vetu de lumiere et de bien plus belles recompenses. Ouvre ton coeur a la generosite de l’univers et ne sombre pas dans l’economie du bien, car l’argent que tu gardes pour assurance porra faire ton enfer. Donnes et tends la main pour recevoir, observes et recoltes les fruits de l’experiense. Ouvre tes yeux et ne crois pas que ce monde est sans Seigneur. Acceuilles maintenant les recompenses de tes convictions...

vendredi 21 novembre 2008


on trouve de tout sur la route sauf peut etre de l'argent pour remplir les jares


chacun fait ce qu'il fait avec ce qu'il a


Il y a quelques jours comme quoi...


LA TURQUIE...


OUI UNE PROFONDE RECONNAISSANCE

RECONNAISSANCE
un grand merci a toutes les personnes qui m'ont aide peu ou prou pour parvenir jusqu'ici depuis Sophie jusqu'a Francis Didier en passant par Alcino, Catherine,Corinne et Karin, mr Roza, Abdou, Camel, Alain, Philippe, Stan,Yann et Patricia et la liste est longue de tous ceux qui sur la route m'ont tendu spontanement une main fraternelle qui au fond m'initie a l'excellence du pardon...

RECONNAISSANCE

un grand merci a toutes les personnes qui m'ont aide peu ou prou pour parvenir jusqu'ici depuis Sophie jusqu'a Francis Didier en passant par Alcino, Catherine,Corinne et Karin, mr Roza, Abdou, Camel, Alain, Philippe, Stan,Yann et Patricia et la liste est longue de tous ceux qui sur la route m'ont tendu spontanement une main fraternelle qui au fond m'initie a l'excellence du pardon...

c le faste